Les organes des sens

Résumé du document

La définition est épithélium pavimenteux stratifié kératinisé. Il n'y a aucun vaisseau ni système lymphatique mais de nombreuses terminaisons nerveuses sensitives. Il y a trois populations de cellules :
- Kératinocytes. Elles ont une évolution morphologique constante et ont un rôle de protection de la lumière (cellules contenant de nombreux grains de mélanine), elles ont aussi un rôle de barrière protectrice mécanique et chimique (kératinisation).
- Mélanocytes. Synthétise la mélanine, on les retrouve dispersées et elles ont un rôle de régulation de la pigmentation cutanée.
- Cellules de Langerhans. Cellules proches des mélanocytes, leur nature, leur origine et leur rôle est discuté. Phagocytose ? Rôle immunitaire ?

2. Le derme

C'est un tissu conjonctif lâche en périphérie et plus dense en profondeur. Il contient de nombreux vaisseaux sanguins et lymphatiques. Il a de nombreuses terminaisons sensitives libres et de nombreux contacts avec les annexes cutanées (glandes sudoripares).

3. L'hypoderme

C'est un tissu conjonctif lâche richement vascularisé. Il a une fonction de nutrition et contient le tissu adipeux.

B. Les glandes annexes

1. Les glandes sudoripares

Ce sont des glandes exocrines sécrétant de la sueur. La portion est au niveau du derme profond. Le canal excréteur gagne la surface de l'épiderme et l'innervation se fait par le système sympathique (stress). (...)

Extraits

[...] La Peau et Les Organes des Sens I. La peau. II. Les organes chimiques. Introduction. Nous avons cinq sens (toucher, goût, odorat, vue, ouïe) il y a des récepteurs sensoriels spécifiques mais il y a de nombreuses interactions entre les différentes perceptions. I LA PEAU. A Les trois couches de la peau. De la superficie vers la profondeur : épiderme, derme, hypoderme L'épiderme. La définition est épithélium pavimenteux stratifié kératinisé. Il n'y a aucun vaisseau ni système lymphatique mais de nombreuses terminaisons nerveuses sensitives. [...]

[...] C'est une muqueuse qui tapisse les paupières et se replie sur le globe oculaire (blanc de l'œil). Elle a pour fonction la protection de l'œil pour la production de mucus lubrifiant et empêche l'entrée d'éléments étrangers. Inflammation : conjonctivite, lentilles, bactéries, virus Les sourcils. Ce sont des poils courts et grossiers qui surmontent l'arcade sourcilière. Fonction : protection de la lumière et des gouttes de sueur. [...]

[...] A Les milieux transparents La cornée. C'est une lame de tissu conjonctif courbe, dense, transparente, avasculaire, elle est entourée sur chaque face par un épithélium. Elle a un rôle dans le système optique pour focaliser et pour la majeure partie de la mise au point de l'image. Ex : rayons lumineux proche de l'œil : " accommodation " L'humeur aqueuse. Sécrétée par les corps ciliaires elle emplit la chambre antérieure de l'œil. Elle assure la nutrition de la cornée Les corps ciliaires. [...]

[...] Relais au niveau du bulbe. Intégration au niveau du cortex. Modulation : avec un bon goût il va y avoir salivation (stimulation des sucs digestifs), avec un goût répugnant : haut-le-cœur ou vomissement (arrêt du contact) Classification des saveurs. Elle est très facile, il y a quatre modalités fondamentales : sucrée (référence : sucre de table), salée (référence : sel de table), acide (référence : concentration en et amère (référence : types de substance chimiques : caféine et quinine). La sensibilité va dépendre des individus (inné et acquis) et de la localisation. [...]

[...] Il a de nombreuses terminaisons sensitives libres et de nombreux contacts avec les annexes cutanées (glandes sudoripares) L'hypoderme C'est un tissu conjonctif lâche richement vascularisé. Il a une fonction de nutrition et contient le tissu adipeux. B Les glandes annexes Les glandes sudoripares. Ce sont des glandes exocrines sécrétant de la sueur. La portion est au niveau du derme profond. Le canal excréteur gagne la surface de l'épiderme et l'innervation se fait par le système sympathique (stress) Les follicules pilo-sébacés. Les poils. Ils proviennent d'une invagination tubulaire de l'épiderme qui s'enfonce dans le derme. [...]