La réaction inflammatoire :
C'est une réaction non spécifique qui s'active dès que les tissus sont lésés. Elle peut être déclenchée par un traumatisme physique, une brûlure, une irritation, une infection virale ou bactérienne.
Les quatre signes majeurs de l'inflammation sont :
- la rougeur,
- la chaleur,
- tuméfaction (oedème),
- douleur.
Cette réaction débute par une alerte chimique. Les tissus lésés vont libérer les substances chimiques comme l'histamine et les kinines. Ces substances provoquent une vasodilatation au niveau des tissus lésés et une fuite des liquides au niveau des capillaires.
Ces substances vont également activer les récepteurs de la douleur et elles vont attirer les phagocytes et des globules blancs dans la région lésée.
La vasodilatation augmente le débit sanguin dans la région lésée ; ce qui explique la chaleur et la rougeur.
La perméabilité accrue des capillaires permet au plasma de s'échapper de la circulation sanguine pour aller vers l'espace interstitiel ; ce qui provoque un oedème localisé. L'oedème va lui aussi s'activer le récepteur de la douleur (...)
[...] On va avoir un rétrécissement des canaux pancréatiques. * Les mécanismes à l'origine de ces pathologies : Lors d'une pancréatite chronique, si on stimule les acinis, on provoque une sécrétion riche en enzyme associée à une diminution de la sécrétion de bicarbonate et d'eau. Ceci provoque une augmentation de la concentration en protéines dans le suc pancréatique. Les protéines vont précipiter dans la lumière des canaux, aboutissant à la formation de bouchon protéique. Autre mécanisme, lors d'une pancréatite chronique, il y a une diminution dan le suc pancréatique de composé qui fixe le calcium (parmi ces composé : le citrate de la litostatine). [...]
[...] Les anticorps vont donc faciliter l'action des cellules phagocytaires. IV. La réaction immunitaire à médiation cellulaire : Les lymphocytes T immunocompétents sont activés pour former un clone lorsqu'ils se lient à un antigène reconnu. Les lymphocytes T ne sont pas capables de se lier à un antigène soluble, libre. Il faut d'abord que les macrophages englobent ces antigènes, les transforment intracellulairement et ils vont ensuite présenter à la surface de leur membrane, des fragments de ces antigènes associés à leurs propres protéines. [...]
[...] On aboutit à une hypocaliémie et alcalose systémique. Le traitement du syndrome néphrotique est dirigé contre le processus pathogène responsable de ce syndrome. Les traitements sont différents s'il s'agit d'un néphrotite primitive ou secondaire. Le traitement de soutien est basé sur un régime diététique fournissant les apports normaux en protéines et en potassium et un régime pauvre en graisse saturé et en sodium. En cas d'ingestion d'une trop grande quantité de protéine, la protéinurie est aggravée et donc l'hypoprotidémie est également augmenté Créé par NGANGA Suzannie III. [...]
[...] Si on stimule de manière répétée un nerf moteur, on observe une sommation normale des potentiels d'action au niveau musculaire mais petit à petit, l'amplitude des potentiels d'action musculaire chute, illustrant l'épuisement de la transmission neuromusculaire. Le syndrome myasthénique de Lambert-Eaton est un trouble pré-synaptique dû à une diminution de la libération d'acétylcholine au niveau des terminaisons nerveuses. Il s'agit d'une maladie auto-immune souvent associée à un carcinome pulmonaire. Le système immunitaire va produire des anticorps dirigés contre les canaux calciques présents dans la membrane des cellules tumorale. Ces anticorps vont également réagir avec les canaux calciques pré-synaptiques de la plaque motrice. [...]
[...] Il y a deux formes de pancréatite dont les causes et les symptômes sont différents : - la pancréatite aiguë, - la pancréatite chronique Les pancréatites aiguës : La pancréatite aiguë est une inflammation aiguë du pancréas qui peut correspondre à un œdème ou une nécrose du pancréas. Cette pancréatique peut guérir cliniquement et l histologique. * Les symptômes : La crise se déclenche souvent par un repas lourd, copieux. Elle se traduit par une douleur violente résistant aux calmants. Cette douleur est située dans la moitié supérieure de l'abdomen. [...]
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