Le document contient 3 fiches de révisions illustrées par de nombreux schémas scannés : L'apport de l'étude des génomes et innovations génétiques (mutations, polyallélisme, génome, les familles multigéniques, ...) ; Méiose et fécondation participent à la stabilité de l'espèce (cycle biologique d'un mammifère et d'un champignon, les étapes de la méiose, la fécondation, les anomalies chromosomiques, ...) ; Méiose et fécondation participent au brassage génétique (répartition des allèles chez un haploïde et un diploïde, le monohybridisme et le dihybridisme, le brassage inter et intrachromosomique, ...).
[...] - Le cycle diploïde ou la phase 2n est dominante et la phase haploïde est réduite aux gamètes (mammifère). - Le cycle haploïde ou la phase n est dominante et la phase 2n, diploïde est limité au zygote (Sordaria). Chez les haploïdes, la méiose suit la fécondation. Chez les diploïdes, la méiose précède la fécondation. II] Les modalités de la méiose et de la fécondation Les étapes de la méiose La méiose succède à la phase de réplication d l'ADN, c'est un ensemble de divisions cellulaires successives : une cellule diploïde forme ainsi 4 cellules haploïdes. [...]
[...] La méiose réalise un brassage du matériel chromosomique. II] Répartition allèlique chez les diploïdes Le monohybridisme. Phénotype : Correspond aux caractères observables d'un individu qui le différencie des individus de son espèce. Il y a des phénotypes morphologiques (couleur, forme ) et des phénotypes moléculaires (enzymes, groupes sanguins ) Le caractère couleur du poil est déterminé par un gène, le gène couleur du poil qui possède 2 allèles : l'allèle gris et l'allèle blanc de souris homozygote de phénotype soit de génotype G//G. [...]
[...] Chaque gamète ne contient qu'un allèle de chaque gène. Dans un croisement de 2 individus homozygotes, on observe l'apparition d'une nouvelle combinaison allèlique : G/b. Cette combinaison est le résultat d'une réassociation aléatoire au cours de la fécondation de 2 chromosomes homologues donc de 2 allèles. La rencontre des gamètes se faisant au hasard, chaque combinaison de la F2 a autant de chances de se réaliser : on parle d'équiprobabilité. Quand on a une souris grise F2, on ne connaît pas son génotype. [...]
[...] Les 4 phénotypes formés en 1ère génération ne seront alors pas équiprobables cas pour les gènes liés. 1er cas : Pas de crossing-over On obtient 2 phénotypes parentaux dans les proportions de 50% : les 2 gènes sont liés avec liaison absolue. 2ème cas : Crossing-over On obtient 4 phénotypes dont 2 parentaux et 2 recombinés les 2 gènes sont liés avec liaison partielle (crossing-over). III] Le brassage génétique dû à la méiose. Un brassage interchromosomique. En anaphase de 1ère division méiotique, les 2 chromosomes homologues de chaque paire se séparent, les couples d'allèles se disjoignent donc. [...]
[...] Grâce au brassage génétique intrachromosomique due au crossing-over en prophase 1 de méiose et au brassage interchromosomique résultant du comportement indépendant des chromosomes de chaque paire en anaphase les cellules issues de la méiose, des gamètes sont toutes génétiquement différentes. La fécondation réunissant au hasard les génomes de 2 gamètes (ensemble des gènes) renforce le brassage génétique. Tout zygote et donc tout individu d'une espèce donnée est donc doté d'une combinaison allélique originale de l'espèce. Méiose et fécondation réalisent un brassage génétique qui assure l'originalité et la diversité des descendants. [...]
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