D'un point de vue anatomique, on distingue le système nerveux central qui correspond au cerveau et à la moelle épinière et le système nerveux périphérique qui lui correspond aux cellules nerveuses et aux nerfs.
Le système nerveux périphérique reçoit des informations qu'il va transmettre au système nerveux centrale grâce à des nerfs afférents (ou sensitifs). Le système nerveux centrale analyse ces informations et envoie une réponse au organe effecteur via les nerfs efférents (ou moteur) (...)
[...] Le système nerveux centrale analyse ces informations et envoie une réponse au organe effecteur via les nerfs efférents (ou moteur). Les nerfs du système nerveux périphérique peuvent recevoir des informations qui viennent de l'extérieur de l'organisme grâce à des récepteurs situés au niveau de la peau ou des informations qui viennent de l'intérieur de l'organisme qui vont lui donner un renseignement sur les constantes qui permettent la régulation. De même, le système nerveux périphérique peut innerver le système nerveux somatique il est formé par les muscles squelettiques responsables des mouvements du corps ou bien il peut innerver le système nerveux végétatif qui est formé par les viscères, les glandes et le cœur. [...]
[...] L'acytosine agit sur les muscles lisses de l'utérus. Les cellules cibles des hormones hypophysaires : en réponse à l'hypothalamus, l'hypophyse peut libérer des hormones qui peuvent agir directement sur les cellules cibles Exemple : La MSH agit sur les mélanocytes de la peau ce qui provoque la libération de mélanine. La GH agit sur toutes les cellules de l'organisme lors de la croissance. Mais ces hormones hypophysaires peuvent agir sur des glandes endocrines qui au final vont commander des cellules cibles. [...]
[...] Les hormones hydrophiles ne peuvent pas passer à travers la membrane plasmique des cellules, elles vont se fixer sur des récepteurs membranaires, ceci entraîne une cascade de réaction chimique dans le cytoplasme, ce qui induit une réponse de la part de la cellule. A l'inverse, les hormones hydrophobes peuvent traverser la membrane plasmique, elles vont venir se fixer sur les récepteurs du noyau, elles vont alors modifier l'expression génique. les cellules cibles Au niveau des cellules cibles, on a plusieurs niveaux de contrôle pour la communication endocrine. [...]
[...] La deuxième différence est la position des ganglions périphériques. Pour les systèmes sympathiques, ils sont situés tout le long de la moelle épinière alors que pour le système parasympathique ils sont situés à proximité des muscles lisses. La troisième différence est la nature des neurotransmetteurs. Au niveau des ganglions parasympathiques ou sympathiques, on a toujours de l'acétylcholine comme neurotransmetteur. En revanche au niveau des ganglions, le système parasympathique libère encore de l'acétylcholine alors que les neurones post ganglionnaires du système sympathique libèrent de l'adrénaline et de la noradrénaline. [...]
[...] Il va transmettre l'information à un premier inter neurone qui va analyser l'information avant de la transmettre à un deuxième inter neurone qui peut être inhibiteur ou stimulateur. Ce dernier va transmettre un message positif ou négatif à un motoneurone qui va innerver le muscle opposé. Ce type de réflexe permet de contrôler la posture générale en agissant simultanément de manière bilatérale. Les activités posturales : elles correspondent au tonus musculaire, c'est-à-dire qu'elles permettent de lutter contre les effets de la gravité et donc de maintenir l'équilibre. Il s'agit de gestes conscients. [...]
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