Bioéthique, neuroscience, cerveau, neurones, comportement mental, processus mentaux, neurologie, psychiatrie, psychologie, neurochirurgie
Le concept de la bioéthique est apparu dans les années 1970 dans le New York Times, année durant laquelle il y a eu de grands et de rapides progrès dans les biotechnologies. Il faut rappeler que la bioéthique est un système qui permet d'étudier les éventuels problèmes moraux appelés aussi problèmes éthiques qui concernent le domaine de la recherche biologique, médicale ou génétique. La bioéthique surveille donc surtout le respect de la personne humaine
[...] Je vais passer maintenant sur les débats et les problèmes que peuvent entraîner les neurosciences. Je vais parler de deux débats qui me semble importants celui de la modification du cerveau. Le premier débat concerne les personnes considérées comme délinquantes. Des scientifiques voudraient utiliser l'imagerie cérébrale pour juger le comportement d'un suspect mais aussi de modifier le cerveau des délinquants (arrêt des vols, etc). La bioéthique intervient à ce moment pour empêcher cela car l'identité de la personne pourrai être modifié à un point où certes la personne ne vol plus c'est vrai mais elle continuerait de se modifier et deviendrait quelqu'un d'autre, on ne sait pas si il supporterait cette modification. [...]
[...] Je vais me pencher sur le problème des neurosciences, je vais d'abord expliquer ce que c'est. Une définition simple des neurosciences, c'est un ensemble de discipline qui étudie le système nerveux. Avec cette définition générale, on va maintenant entrer dans les détails de cette science. En neurosciences, on étudie au niveau moléculaires, cellulaires et synaptiques jusqu'à des choses, plus fonctionnels, comme les comportements ou les processus mentaux. Elles rassemblent donc le domaine de la neurologie, psychiatrie, psychologie, neurochirurgie, etc. Les progrès en neurosciences ont pu se faire grâce aux technologies médicales. [...]
[...] La bioéthique surveille donc surtout le respect de la personne humaine. Elle se penche sur plusieurs problèmes comme par exemple le clonage humain, l'avortement, l'euthanasie ou bien la thérapie génétique sont des choses qui provoque de nombreux débats. La réflexion qu'amène la bioéthique dépasse le champ de la science, c'est avec les découvertes scientifiques et par leurs usages, viennent à modifier notre société et notre définition de l'individu. La bioéthique fait réfléchir aux « dérives » que peuvent engendrer de tels progrès, dans la recherche, dans l'application d'un traitement ou d'une technique de soin à des fins non-médicales et donc elle fait réfléchir aux limites à poser pour éviter que l'Homme ne porte atteinte à ses semblables. [...]
[...] C'est la neuro-amélioration. Cette idée part d'un bon sentiment mais il ne faut pas qu'une partie de la population aient accès à cela. Ensuite le fait de pouvoir modifier le fonctionnement du cerveau entraînerait une absence de vie privée et de transparence ( ce qui se fait déjà avec les objets connectés). Pour finir, il serait intéressant de débattre sur « si on peut utiliser l'imagerie cérébrale anatomique et fonctionnelle pour déterminer le degré de responsabilité en situation pénale, comme par exemple la capacité à répondre à une situation de stress ? [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture