Respiration, appareil respiratoire, régulation nerveuse, échanges gazeux, acide lactique
Quand on pratique un effort physique, on a une perte importante d'électrolytes accompagnée de perte d'eau, donc par la transpiration, la sueur qui va entrainer fatalement une diminution du volume sanguin, ce qui entraine une baisse du Ph sanguin. Finalement la pratique sportive entraine la lésion microscopique des fibres musculaires. La fatigue est la résultante de tous ces phénomènes dont notamment le déchet métabolique central de la phase anaérobie de la production d'énergie: l'acide lactique.
[...] Conclusion Les variations du rythme respiratoire répondent à une exigence d'adaptation à l'exercice. Au début d'un exo, la ventilation ou le rythme respiratoire augmente, s'accroit au fur et à mesure du déroulement, et atteint une valeur stable pour un effort sous maximal. A l'arrêt de l'effort, on a une brusque diminution du rythme respiratoire suivie d'une diminution moins rapide jusqu'au retour au rythme de repos. Au repos cette ventilation est environ de 10L d'air/min A l'effort, on atteint les 120L/min. [...]
[...] On va trouver des fibres musculaires qui vont être à l'origine de la broncho motricité et qui va intervenir dans les mécanismes de la toux. Les bronches Elles font suite à la trachée qui se divise en 2 tubes : les bronches souches. Chacune d'elles se rendent dans les 2 poumons. Ces bronches vont se ramifier au fur et à mesure qu'elles vont pénétrer dans les poumons. Les ramifications de ces bronches = les bronchioles. Il ya 4 conduits successives : Les bronchioles terminales qui sont exclusivement conductrices de gaz. [...]
[...] Ce rythme va donc varier en fonction d'actes réflexes ou d'actes volontaires (parole, chant), l'effort énergétique va également modifier le rythme, également la toux (expiration brutale), en cas de myoclonie phrénoglotique contraction rythmique du diaphragme comme avec le hoquet). Différents modes de distensions pulmonaires : Mode abdominale (abdomen qui ressort à chaque expiration), il ya protution de l'abdomen peu mobile. Pour l'homme on a un mode costal inférieur avec expansion de côtes inférieures + protusion de l'abdomen. Chez la femme mode costal supérieur avec extension de côtes supérieures. Pneumographie : courbe des respirations et expiration donc volume respiratoire = 4s. Ventilation respiratoire L'étude de ces mouvements donne lieu à l'étude de la ventilation respiratoire ou la spirométrie. [...]
[...] La bouche Donc on passe par un autre mode : le mode buccale avec une respiration intensive. L'inconvénient est qu'il n'y a pas de réchauffement de l'air et il n'y a pas de rôle d'épuration donc pénétration d'impuretés dans les bronches. Le pharynx Il fait suite à la bouche et au nez, il est à la confluence de la jonction des voies nasales et buccales mais également des voies digestives. On peut donc avoir des conflits au niveau du pharynx comme le passage de nourriture dans les voies respiratoires, ou le passage d'air dans les voies digestives. [...]
[...] Cet ensemble cardio respiratoire va donc s'adapter en permanence au besoin de l'organisme. Cette adaptation est d'autant plus efficace quand l'athlète s'entraine c'est-à-dire stimule cet ensemble. En suivant les étapes : Augmentation de la fréquence cardiaque En parallèle : augmentation du volume de sang éjecté : la systole contraction du cœur) Le cœur chargé d'envoyer le sang partout, lors de la systole ventriculaire le sang est éjecté dans l'ensemble de l'organisme, les muscles vont utiliser l'oxygène pour faire un mouvement, le sang est récupéré par le cœur dans l'oreillette droite qui passe ensuite dans le ventricule droit qui s'oriente vers les poumons (artère pleine de sang vicier), ont oxygène le tout pour repartir dans l'oreillette gauche puis le ventricule gauche pour repartir dans l'organisme. [...]
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