Le cœur est dérivé du mésoderme. Ce cœur commence à se développer dès la fin de la troisième semaine de grossesse. Son développement commence dans la région ventrale de l'embryon : correspond à la formation des tubes endothéliaux = endocardiaques et ceci à partir de cellules mésodermiques. Ces tubes s'unissent pour n'en former qu'un : tube cardiaque primitif. Ce dernier se divise en 5 régions :
- le bulbus cordis
- l'oreillette
- le sinus veineux
- tronc artériel
- ventricule.
Etant donné que le bulbus et ventricule croissent plus rapidement que les autres composants et que le cœur croît rapidement que ses attaches inférieures, le cœur prend une forme de U et ensuite, celle d'un S et ensuite les courbures du cœur se réorientent : l'oreillette et le sinus veineux prennent une position supérieure par rapport au bulbus cordis, au ventricule et au tronc artériel.
[...] Anatomie fonctionnelle et histologie du cœur Développement embryonnaire du cœur de mammifère Le cœur est dérivé du mésoderme. Ce cœur commence à se développer dès la fin de la troisième semaine de grossesse. Son développement commence dans la région ventrale de l'embryon : correspond à la formation des tubes endothéliaux = endocardiaques et ceci, à partir de cellules mésodermiques. Ces tubes s'unissent pour n'en former qu'un : tube cardiaque primitif. Ce dernier se divise en 5 régions : Le bulbus cordis L'oreillette Le sinus veineux Tronc artériel Ventricule Étant donné que le bulbus et ventricule et croissent plus rapidement que les autres composants et que le cœur croît rapidement que ses attaches inférieures, le cœur prend une forme de U et ensuite, celle d'un S et ensuite les courbures du cœur se réorientent : l'oreillette et le sinus veineux prennent une position supérieure par rapport au bulbus cordis, au ventricule et au tronc artériel. [...]
[...] La vascularisation ou irrigation sanguine du cœur est la circulation coronaire composée de nombreux vaisseaux qui traversent le myocarde : Artère coronaire gauche : deux branches Artère coronaire droite : qui se divise en petites branches Veine coronaire qui recueille le CO2 et les déchets en relation avec le métabolisme du cœur. C'est un sinus coronaire qui se déverse dans l'oreillette droite. À partir de ces artères : il existe des plaques graisseuses artérioscléreuses qui peuvent se fixer sur la paroi et provoquer une ischémie (manque d'apport sanguin) voire une hypoxie (manque d'oxygène) : angine de poitrine. Ces faits peuvent conduire à l'infarctus du myocarde. [...]
[...] Le péricarde fibreux ne peut pas s'étirer : accumulation de sang ou de liquide exerce une compression sur le cœur, il s'agit de la tamponnade qui peut provoquer une insuffisance cardiaque et/ou l'arrêt des battements Le myocarde Il est important. Disposition des fibres myocardiques au niveau des oreillettes et des ventricules. Le cœur est formé d'une multitude de grandes cellules myocardiques agencées en fibres musculaires dont la disposition favorise l'écoulement du sang. Caractéristiques histologiques et cytologiques du myocarde. Le myocarde est un muscle de type strié comme le muscle de type squelettique strié dans sa configuration intracellulaire. Cependant, en dépit de son apparence striée, c'est un muscle involontaire. Ce myocarde est stimulé par le tissu nodal. [...]
[...] 2-Anatomie fonctionnelle et histologie du cœur 1. Configuration externe du cœur Le cœur est au milieu de la cavité thoracique chez l'homme. Il occupe une position oblique entre les poumons et fait partie du médiastin (masse de tissu située entre les plèvres pulmonaires et qui s'étend du sternum jusqu'à la colonne vertébrale) Configuration interne du cœur Le cœur est une double pompe : cœur droit et gauche. Il possède quatre cavités distinctes : deux oreillettes et deux ventricules. On met en évidence des valvules qui empêchent le sang de refouler et les valvules s'ouvrent et se referment en réaction aux changements de pression déclenchés par la contraction / relaxation du cœur. [...]
[...] L'espace péri cellulaire est très réduit, mais les deux cellules ne fusionnent pas. Les protéines appelées connexions franchissent cet écart et forment un minuscule tunnel rempli de liquide. On parle ici de jonction serrée. Les signaux électriques et chimiques peuvent se déplacer à la faveur de ces jonctions communicantes. La stimulation du tissu musculaire est réalisée par le tissu nodal. Au niveau du cœur, il existe un tissu particulier où les cellules émettent des ondes de dépolarisation spontanées qui se communiquent au tissu cardiaque pour provoquer la contraction cardiaque. [...]
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