Sciences humaines et arts, digestion, albumine, protéines, pepsine, ovalbumine, estomac, organisme, pancréatine, nutriments
Le but de la digestion est la simplification moléculaire, les macromolécules sont hydrolysées en molécules simples qui peuvent être absorbées au niveau de l'intestin
La protéase de la pepsine agit au niveau de l'estomac et celle de la pancréatine au niveau de l'intestin
Les protéases permettent l'hydrolyse des protéines. L'ovalbumine est une protéine.
[...] En effet la pepsine dans l'estomac permet d'hydrolyser les macromolécules de nourriture ingérées (dans les expériences présentées l'ovalbumine) et permet donc aux molécules simples qui ont été formées d'être absorbées au niveau de l'intestin, lorsqu'elles pénètrent dans l'intestin la pancréatine se charge de réduire ces molécules simples en acides aminés libres qui vont pouvoir être absorbés par l'organisme par la suite. Les actions de la pepsine et de la pancréatine sont donc essentielles au corps humain car elles permettent l'absorption des nutriments, ce sont deux actions qui se complètent. [...]
[...] La pancréatine réussit à hydrolyser les macromolécules et permet qu'il ne reste que des acides aminés libres dans le liquide. On peut donc déduire que lors de la digestion les actions de la pepsine puis celle de la pancréatine se complètent. [...]
[...] L'activité enzymatique-Digestion des protéines Le but de la digestion est la simplification moléculaire, les macromolécules sont hydrolysées en molécules simples qui peuvent être absorbées au niveau de l'intestin La protéase de la pepsine agit au niveau de l'estomac et celle de la pancréatine au niveau de l'intestin Les protéases permettent l'hydrolyse des protéines. L'ovalbumine est une protéine Le document de référence est un tableau représentant des expériences témoins, on constate que lorsque les acides aminés sont libres la réaction de biuret ne se fait pas. [...]
[...] Ce qui n'est pas le cas lorsque le tube contient des dipeptides, des polypeptides ou des protéines Dans le document 1 et 2 on observe les résultats de différentes expériences effectuées sur des flocons d'ovalbumines en présence de pepsine (document puis de pancréatine (document en modifiant le protocole pour chaque tube Les expériences en présence de flocons d'ovalbumine et de pepsine (document nous permettent d'obtenir les résultats suivant : Le tube 1 placé à 38°C possède un pH de on y ajoute de la pepsine et du HCI; on observe une disparition complète des flocons et que la réaction de biuret à eu lieu dans le liquide Le tube 2 à 100°C a un pH de on y ajoute de la pepsine et du HCI; on remarque de l'aspect du tube n'a pas changé et que la réaction de biuret à eu lieu sur les flocons mais pas sur le liquide Le tube 3 à 0°C a un pH de on y ajoute de la pepsine et du HCI; on constate que l'aspect du tube est inchangé et que la réaction de biuret a eu lieu sur les flocons et pas sur le liquide Le tube 4 à 38°C a un pH de on y ajoute de la pepsine; on remarque que seuls quelques flocons ont disparu et que la réaction de biuret a eu lieu sur les flocons mais pas sur le liquide Le tube 5 à 38°C a un pH de on y ajoute uniquement du HCI, on observe que l'aspect du tube n'a pas changé et que la réaction de biuret a eu lieu sur les flocons et pas dans le liquide Les expériences en présence de flocons d'ovalbumine et de pancréatine (document nous permettent d'obtenir les résultats suivant : Le tube 6 à 38°C a un pH de on y ajoute de la pancréatine, on constate que l'aspect du tube est inchangé et que la réaction de biuret a eu lieu sur les flocons et pas dans le liquide Le tube 7 à 38°C a un pH de 8.3 on ajoute de la pancréatine et de la soude diluée, on remarque une disparition complète des flocons ainsi que la réaction de biuret qui s'est effectuée sur les flocons mais pas sur le liquide Le tube 8 à 38°C a un pH de on y ajoute de la soude diluée, on constate que l'aspect de la solution est inchangé mais que la réaction de biuret s'est faite sur les flocons mais pas sur le liquide Le tube 9 à 38°C a un pH de on y ajoute de la pancréatine qui a préalablement était bouillie ainsi que de la soude diluée, on remarque que l'aspect du tube après une heure est inchangé et que la réaction de biuret s'est faite sur les flocons mais pas sur le liquide Le but de la digestion est d'hydrolyser les macromolécules en molécules simples, l'action de la pepsine serait donc de réduire les flocons d'ovalbumine, on remarque que cela est fait dans le tube 1 du document cela signifie que la pepsine a effectué son hydrolyse Cette hydrolyse a pu se faire car elle a était réalisée à température du corps humain (38 degrés) et parce que l'expérience à été faite dans un liquide possédant un pH de 2 (identique à celui présent dans l'estomac humain) L'hydrolyse des macromolécules d'ovalbumine a fait que des dipeptides, des polypeptides ou des protéines se sont retrouvées dans le liquide, cela est mis en évidence par la réaction de biuret ou le liquide à pris une coloration mauve Cette disparition des flocons d'ovalbumine est aussi présente dans le tube 7 du document 2 L'hydrolyse a de nouveau pu se faire car l'expérience à été réalisée à 38 degrés, à un pH de 8.3 (identique à celui de l'intestin) et parce que la pancréatine n'a pas été bouillie auparavant et donc n'est pas endommagée. Cependant dans cette expérience contrairement à celle du tube 1 on ne retrouve pas de dipeptides, polypeptides ou de protéines dans le liquide La pepsine servirait donc (à l'aide du HCI) à réduire les macromolécules (ici molécules d'ovalbumine); cependant elle ne permet pas de faire en sorte qu'il ne reste que des acides aminés seuls dans le liquide, or cela est possible grâce à la pancréatine. [...]
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