Léonard de Vinci, Salvador Mundi, Madone à l'oeillet, l'Homme de Vitruve, la Joconde, humaniste, renaissance, philosophe, génie universel
Léonard de Vinci, fils d'un notaire, Ser Piero, et d'une paysanne, né le 15 avril 1452 à Vinci, une ville de Toscane proche de Florence. Il est élevé par ses grands-parents, c'est seulement à l'âge de 10 ans qu'il suit des cours pendant deux ans. C'est à l'âge de 15 ans, qu'il entre dans l'atelier de peinture, celui d'Andrea del Verrocchio. C'est dans ce lieu que Leonardo de Vinci se forme à la peinture ainsi qu'à la sculpture. Cette expérience lui permettra de rencontrer Sandro Botticelli. Aux côtés de Verrocchio, De Vinci apprend à maîtriser la perspective et commence déjà à réaliser ses propres oeuvres. À 26 ans, l'élève quitte son maître, ayant déjà une certaine notoriété, il devient adepte de l'art nouveau clair-obscur. Il est connu pour réaliser des paysages et notamment des portraits. C'est un artiste polymathe. Mais Léonard de Vinci ne se contente pas seulement de la peinture, il est aussi inventeur, ingénieur, scientifique, humaniste et philosophe.
[...] Conclusion A travers différentes œuvres de De Vinci, on retrouve différentes représentations du monde dans lesquelles s'incrustent des figures de sphères. Rappelons la définition d'un humaniste : une personne qui place l'Homme comme la priorité de toute réflexion dans son art, ses écrits, ses inventions. Nous nous demandons comment peut-on lier Léonard à l'humanisme ; de Vinci est un artiste peintre, un savant, un scientifique et même un architecte. Grâce à ces connaissances Léonard permet à son art d'évoluer et de transmettre ses envies de changer le monde. [...]
[...] Le nom « Mona Lisa » que l'on attribue généralement à ce tableau viendrait alors du modèle. C'est en effet une contraction de « ma donna Lisa » en italien, qui peut se traduire par « madame Lisa ». Le titre « La Joconde » viendrait quant à lui du nom de Francesco, del Giocondo. « La Joconde » est donc le portrait d'une jeune femme, représentée de trois-quarts, descendant jusqu'à la taille, représentation nouvelle pour l'époque de Léonard de Vinci, brisant les codes déjà établis. [...]
[...] Evidemment, le devant de ce Christ, son regard tourné vers nous, vient de l'icône, et son essence est d'offrir une confrontation directe avec le divin, une occasion de rencontre interpersonnelle. On le voit émérgée d'un fond noir qui pourrait faire référence aux ténèbres, cette idée est souvent représenter chez De Vinci à l'exemple de Saint Jean-Baptiste ou la Dame à l'hermine. Il est représenté en buste à mi-hauteur quasiment à l'échelle humaine. De sa main droite, il effectue un acte de bénédiction qui pourrait s'attribuer à tous ceux qui le regardent. [...]
[...] L'ensemble de ses avancées sont basées sur l'observation, grâce au dessin, il témoigne et nous fait parvenir son travail par ses manuscrits, études et dessins récupérés par les générations suivantes. Léonard de Vinci reste un génie universel et d'autant plus impressionnant puisqu'il n'est pas un lettré, c'est uniquement par l'observation qu'il crée et qu'il rend ses créations si singulières. Étant un homme d'influence, sa notoriété le fit passer pour une menace. En effet, entre 1476 et 1478, De Vinci fut contraint à l'exil pour des actes considérés comme contre-nature. [...]
[...] Au cours de notre analyse sur ses œuvres nous allons nous demander: Comment Léonard de Vinci peut-il être considéré comme un humaniste au temps de la Renaissance ? Dans un premier temps, nous analyserons le Salvator Mundi puis dans un second temps la Madone à l'œillet. Il sera intéressant dans un troisième temps d'étudier l'Homme de Vitruve et pour conclure, en quatrième temps la Joconde. Le Salvator Mundi: Le Salvator Mundi est une œuvre de Léonard de Vinci, abrasée et en partie repeinte au fil des siècles. [...]
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