Autres arts, Zozoastre, opéra Omnia, Jean-Philippe Rameau, 1749, résumé de l'introduction, édition scientifique, Sylvie Bouissou, clarinette, contrebasse, scénographie, livret des Boréades, Louis de Cahusac, sorcier Abramane, instrumentation
Opéra Omnia (abrévié OOR) est une édition scientifique de l'intégralité des œuvres musicales de Rameau dirigée par Sylvie Bouissou dans le cadre des recherches du CNRS et du moyen mis en œuvre pour les travaux du genre Musica Gallica. Les œuvres dramatiques sont traitées dans la quatrième série, l'opéra Zoroastre est le 19e volume des 31. Ces volumes présentent des réductions pour clavier avec les parties de chant.
[...] À l'image de Zoroastre, Cahusac, par des indications scéniques, utilise la pantomime pour illustrer l'intrigue principale. Alors qu'on l'accusait d'abuser du Merveilleux, il défendait, lui, cette position artistique, supposée nécessaire à l'opéra, servant à étonner et à ensorceler le spectateur. Il eut peu de succès à introduire les modèles historiques dans les décors et costumes. Zoroastre inaugure réforme la plus réussie, l'abandon du prologue traditionnel, sans qu'il ne tente de s'en justifier jusqu'en 1756 où il assume cette encontre à cette précieuse règle par souci d'économie et d'élagage du superflu, alors même qu'elle était d'ores et déjà très bien perçue. [...]
[...] L'édition se veut alors « une étape majeure dans la réhabilitation de l'œuvre ». En effet, on avait jusque-là qu'une seule édition contemporaine gravée publiée lors de la création de l'œuvre, partiellement réduite (pas complète) conformément aux usages. On peut trouver étonnant que Rameau n'eut pas fait paraitre une nouvelle édition pour la seconde version de Zoroastre comme il l'avait fait pour Dardanus et Castor et Pollux, entre autres. Une reprise posthume eut lieu en 1770 après plusieurs projets de reprise du vivant du compositeur n'aient pas abouti. [...]
[...] Les points suivraient ainsi à l'usage du point établi depuis longtemps en France et indiquent l'égalité des valeurs plutôt qu'une technique staccato, non indissociable. Nous devons alors avoir une vue plus globale des notes inégales dans l'œuvre. En guise de preuve, dans l'Entrée des Indiens et des Indiennes, les notes avec ces points étaient accompagnées de préciser « égales » dans les passages ayant pu sembler requérir l'inégalité. [...]
[...] Zoroastre, opéra Omnia - Jean-Philippe Rameau (1749) : résumé de l'introduction de l'édition scientifique Introduction au travail de résumé Cette introduction sert à cadrer notre travail de résumé en précisant les consignes du devoir, et en présentant le document étudié ainsi que l'œuvre sur laquelle elle porte. Réponse aux consignes Nous choisissons de travailler la partition ayant la cote OOR IV 19 qui est celle de la tragédie lyrique Zoroastre de Jean-Philippe Rameau. Les pages à résumer sont celles de l'avant-propos de l'œuvre et de ses 6 sous-parties que nous reprendrons dans notre organisation pages sont concernées, chaque page comporte deux colonnes, nous divisons le nombre total de colonnes par 10 et nous obtenons que notre devoir doive faire environ 5 pages, sans compter l'introduction qui ne fait pas partie du travail de résumé. [...]
[...] La facture des flûtes baroques limitant leur étendue dynamique, comme Rameau, on choisit plutôt de rendre changeant le nombre d'instrumentistes et de faire correspondre les nuances de l'orchestre plutôt que de leur noter des dynamiques. Petites lignes : on supprime certaines petites lignes indiquant le changement d'instrument, de dynamique ou de tempo, rendues inutiles par la notation moderne. Toute situation contestable quant aux intentions du compositeur se trouve dans les « Critical Notes ». Des problèmes spécifiques des partitions réduites Problème d'instrumentation des parties instrumentales et chorales : une bonne connaissance des traditions permet de restituer au mieux l'orchestration de Rameau. Certaines indications exigeant ces précisions sont gardées. [...]
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