Le jazz est une forme de musique d'origine afro-américaine. Elle s'est définie pendant les années 20 aux Etats-Unis, grâce à l'apport des Noirs africains à la musique américaine. Le j. est né de la fusion de différents éléments de la musique populaire occidentale (polka, mazurka, quadrille, marches militaires) et d'éléments du folklore noir américain (work songs, spirituals, blues) et surtout de la tradition rythmique africaine. Bref, une alliance entre la culture africaine et la culture européenne, en terre américaine (...)
[...] Coleman et E. Dolphy, le pianiste C. Taylor et le contrebassiste C. Mingus. Les années 80 : le mainstream jazz Les années 80 sont marquées par le développement de caractéristiques issues du be-bop, et par l'influence de formules regroupées pour le nom de Mainstream Jazz. Même si le j. a ses racines les plus profondes dans la culture américaine, depuis les années 30 il a eu des échos importants en Europe, et en particulier en France (où s'est établi le guitariste D. [...]
[...] Le Jazz La naissance du jazz Le jazz est une forme de musique d'origine afro-américaine. Elle s'est définie pendant les années 20 aux Etats-Unis, grâce à l'apport des Noirs africains à la musique américaine. Le j. est né de la fusion de différents éléments de la musique populaire occidentale (polka, mazurka, quadrille, marches militaires) et d'éléments du folklore noir américain (work songs, spirituals, blues) et surtout de la tradition rythmique africaine. Bref, une alliance entre la culture africaine et la culture européenne, en terre américaine. [...]
[...] Bien que le swing soit surtout adopté des musiciens blancs, un certain nombre d'interprètes noirs a aussi apporté des innovations dans ce domaine. Les années 40 : le be-bop Les années 40 voient l'affirmation du style be-bop, que les Noirs développent en opposition au style «blanc» du swing. Il est caractérisé par des solutions expressives originales mais complexes, et par des petites formations privilégiant le rôle des solistes. Parmi les maîtres du be-bop, il faut mentionner les pianistes T. Monk et B. Powell, le saxophoniste C. Parker, le trompettiste D. [...]
[...] Konitz, qui est une réponse intellectualiste des musiciens blancs, au be-bop. A la même époque s'affirme aussi le West Coastjazz, représenté surtout par des musiciens blancs, et caractérisé par un retour à certaines formules chères au swing, mitigées par quelques éléments du be-bop. En Californie, S. Kenton donne naissance à une forme de j. au caractère expérimental. Les années 60 : le hard-bop Les années 60 sont dominées par le hard-bop, représenté par le percussionniste A. Blakey, le pianiste H. [...]
[...] Le hard-bop se situe entre le be-bop et le West Coast jazz, mais avec un caractère assez marqué de musique noire. Dans cette tendance s'inscrit aussi M. Davis, un des plus grands trompettistes de j. de notre époque. Les années 60 et 70 : le free jazz Les années 60 et 70 voient l'affirmation du free jazz, qui s'est entièrement libéré des structures du j. traditionnel en vigueur jusque là, et qui a aussi voulu représenter une forme de contestation centrée sur le problème du racisme. Ses principaux chefs de file sont les saxophonistes J. Coltrane, A. Ayler, A. [...]
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