Boléro, Ravel, compositeur polyvalent, Ida Rubinstein, musique de ballet, concerto pour orchestre
Pour cette épreuve de l'histoire de l'art, je vais vous présenter une musique de ballet pour orchestre signée Maurice Ravel.
Il s'agit du célèbre Boléro de Ravel, composé en 1928 pour la danseuse russe Ida Rubinstein.
Cette oeuvre singulière d'environ 17 minutes, que Ravel ne considérait que comme
un simple exercice d'orchestration, a fait l'objet dès sa création d'une très large diffusion jusqu'à devenir, de nos jours encore, une des oeuvres musicales les plus
jouées dans le monde.
[...] Il s'agit du célèbre Boléro de Ravel, composé en 1928 pour la danseuse russe Ida Rubinstein. Cette œuvre singulière d'environ 17 minutes, que Ravel ne considérait que comme un simple exercice d'orchestration, a fait l'objet dès sa création d'une très large diffusion jusqu'à devenir, de nos jours encore, une des œuvres musicales les plus jouées dans le monde. Tout d'abord une rapide présentation de l'artiste, puis l'analyse de l'œuvre avec une comparaison avec une autre œuvre et enfin, je conclurai cet exposé en vous dévoilant mon avis personnel. [...]
[...] Pourtant elle recèle de difficultés rythmiques inattendues. La partition de Maurice Ravel est réputée être l'œuvre de musique classique la plus jouée à travers le monde. Elle a inspiré plusieurs chorégraphes, mais la version de Maurice Béjart est devenue l'une des œuvres chorégraphiques les plus populaires de l'histoire de la danse. Seule sur une vaste table ronde, une danseuse s'éveille au rythme de la musique. Au fil du crescendo sonore, les garçons assis sur des chaises s'animent progressivement. Comme aimantés par la femme et la musique, ils s'engagent dans une ronde autour de la table. [...]
[...] La seul variation, est le crescendo progressif. Cette répétition dure de la configuration initiale (flûte, clarinette, tambour) jusqu'au cataclysme final avec lequel, le Boléro s'effondre. Ravel résume son œuvre ainsi: "le boléro est une danse d'un mouvement très modéré et constamment uniforme, tant par la mélodie que par l'harmonie et le rythme, ce dernier marqué sans cesse par le tambour. Le seul élément de diversité y est apporté par le crescendo orchestral". Cette suite de solos instrumentale met en valeur les talents individuels de chaque musicien. [...]
[...] Il tire son originalité sur sa puissance orchestrale ses audaces d'instrumentation, sa force rythmique et sa capacité à différencier les plans sonores. Contrairement au boléro, le sacre du printemps, ne suscita pas d'imitation et resta une œuvre isolée. Pourtant, cette œuvre a ouvert l'oreille musicale à l'univers sonore de l'avenir. Avis personnel: Malgré une pulsation très rythmée, le Boléro est un morceau de temps suspendu. La répétition obsédante du même rythme, des mêmes motifs me fait perdre tout repère temporel. La fin grandiose est très entrainante, et je n'ai pu m'empêcher de battre la mesure. [...]
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