Histoire de l'art, Renaissance, questions, réponses, examen, Cavalier d'Arpin, maniérisme, Le Garçon au panier de fruits, Judith décapitant Holopherne, Méduse, Rembrandt, Lastman, Autoportrait au béret, Velasquez, Titien, Nicolas Poussin, Raphaël, Eliézer et Rebecca, rubinistes, Modernes, Vies de Vasari, Wincklemann
L'ancêtre de la critique d'art s'est développé au milieu du XVIIe siècle en France avec le commentaire d'œuvre. La véritable critique d'art débute en 1747 avec les modalités que nous connaissons toujours aujourd'hui : un spécialiste à destination d'amateurs. La nouvelle institution des Salons expose des tableaux à la fois pour la vente et pour la monstration, et crée les notions d'amateur et de public. La critique d'art sert à faire connaître la peinture française en Europe auprès des amateurs et des acheteurs qui n'ont pas pu se déplacer. Elle a d'abord une fonction de reportage en décrivant et expliquant les tableaux.
[...] Son clair-obscur caractéristique apparaît assez vite et renforce la crédibilité des objets en leur donnant un relief affirmé : la Corbeille de Fruits en est un exemple. La lumière transperce violemment le tableau, sépare le sujet du fond sombre, et illumine des éléments choisis, souvent aussi mis en valeur par des compositions audacieuses.Dans sa toile Judith décapitant Holopherne, les contrastes forts traduisent picturalement la dramaturgie de la scène. Judith est en train de décapiter le géant, mais il n'est pas encore mort. La scène est représentée au maximum de la tension. [...]
[...] En plus de s'inspirer de Raphaël, il est aussi influencé par les Carrache. Il en hérite une certaine monumentalité, ainsi que les compositions denses et précises.Avant de peindre, Poussin créé des scènes miniatures dans des boîtes, comme une pièce de théâtre précisément réglée. Il ajuste minutieusement la composition, souvent triangulaire, tellement harmonieuse et équilibrée qu'elle apparaît artificielle. La nature n'a aucune place, le peintre est un grand metteur en scène qui place soigneusement ses éléments. Poussin s'inspire beaucoup de ceux qui l'ont précédé, et particulièrement de Raphaël, comme par exemple avec son tableau La Mort de Saphira, thème repris d'une toile du maître. [...]
[...] Le dessin préparatoire est lâche, ce qui facilite des changements de compositions spontanés : ce sont les repentirs.Rembrandt à son tour a eu une grande influence sur les générations d'artistes suivantes : la vivacité de ses personnages, ses tons terreux, ses innovations en gravure sont encore source d'inspiration et de débats aujourd'hui.En quoi Nicolas Poussin peut-il être qualifié “d'anti-Caravage” ? Dans quel courant de la peinture italienne s'inscrit-il ? Expliquez. Poussin est l'antithèse de Caravage : il affirme même que ce dernier a détruit la peinture. [...]
[...] La beauté ne peut exister que dans une conscience depuis qu'elle s'est subjectivisée. L'esthétique est alors une théorie de la sensibilité comme mode de connaissance. Mais c'est véritablement Sulzer qui développe l'esthétique en en faisant la philosophie des beaux-arts, consacrant en même temps ce nouveau domaine. [...]
[...] La science étudie la vérité alors que l'art s'intéresse à la beauté. Cette division pose les bases de la constitution moderne des beaux-arts au XVIIIe siècle.Quelles sont les trois formes de discours sur l'art qui se mettent en place aux XVIIe et XVIIe siècles ? Expliquez.Les trois formes de discours de l'art qui se mettent en place aux XVIIe et XVIIIe siècles sont la critique d'art, l'histoire de l'art et l'esthétique.L'ancêtre de la critique d'art s'est développé au milieu du XVIIe siècle en France avec le commentaire d'œuvre. [...]
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