Le réalisme - publié le 08/06/2012

Thèmes abordés

Réalisme, Gustave Courbet, enterrement à Ornans, positivisme, Second Empire, exposition Universelle de Paris

Résumé du document

Le réalisme est un courant artistique né en 1840 en France, elle se développe au XIX siècle en toute Europe avec différentes caractéristiques. Il trouve ses racines dans le positivisme, une pensée philosophique qui étudie la réalité de manière scientifique.
Le réalisme arrive à son apogée pendant le Second Empire parce que dans cette période on a un développement économique et technologique fort, mais son affirmation arrive en 1855 avec une brochure écrite par Gustave Courbet à l'occasion de l'exposition Universelle de Paris.

Extraits

[...] Il trouve ses racines dans le Positivisme, une pensée philosophique qui étudie la réalité de manière scientifique. Le Réalisme arrive à son apogée pendant le Second Empire parce que dans cette période on a un développement économique et technologique fort, mais son affirmation arrive en 1855 avec une brochure écrite par Gustave Courbet à l'occasion de l'exposition Universelle de Paris. Gustave Courbet est le principal représentant du Réalisme, il croit que le Réalisme ne représente pas la perfection du trait et des formes, mais il pense que l'usage de la couleur doit être spontané et immédiat parce qu'il doit suggéré comme l'artiste a retiré les irrégularités de la nature grâce à l'observation directe . [...]

[...] L'oeuvre est divisé en deux parties horizontales qui sont le ciel de couleur en arrière-plan et la foule de gens au premier plan; les gens représentés sont les vrais habitants du pays d'Ornans mais la caractéristique principale c'est l'identité inconnue du défunt, lequel cercueil est couvert d'un drap blanc. En outre, le sujet de la dénonciation sociale est très souligné par Courbet, il se révèle dans les deux prêtres, un de lequel est habillé en rouge qui suggère incohérence éthique et le vice de boire. Enfin la présence du chien en avant à la foule de gens exagère le réalisme de l'oeuvre parce qu'il était rare de voir un animal au premier plan opposé à l'illustration humaine. [...]