Musée d’Orsay, perspective mathématique, perspective du sfumato, perceptive chromatique, composition au tiers
Gustave Caillebotte en 1875 a peint Les raboteurs de parquet, il est exposé au musée d'Orsay à Paris. Le peintre a élaboré son tableau à l'aide de la composition nommée Charles VII ; les diagonales se rencontrent sur l'un des raboteurs et sur la main du personnage à gauche. Il a utilisé cette composition pour que notre regard soit attiré par les personnages qui nettoient le sol. Caillebotte a appliqué une perspective mathématique à sa toile, cela se voit par la profondeur qui est marquée par les lattes de parquet ; il a tout calculé pour nous faire ressentir la grandeur de la pièce.
[...] A Hambourg, au Hamburger Kunsthalle est exposé La Mer de glaces peint en 1824 par Caspar David Friedrich. L'artiste a employé la perceptive chromatique dans sa toile car les couleurs sont chaudes en bas et plus notre regard monte, plus les couleurs deviennent froides. Il a également utilisé la perspective en sfumato car l'arrière-plan de sa toile est très brièvement dessiné, nous percevons très légèrement le second glacier. Friedrich a appliqué une composition académique centrée dans son tableau, la forme du glacier reprend légèrement la forme du losange, il l'utilise pour nous montrer la grandeur de celui-ci. [...]
[...] Léonard de Vinci emploi dans son tableau, la composition académique centrée, sauf qu'il l'utilise horizontalement ; il a centré ses personnages pour qu'ils tiennent dans le losange (de la tête de la jeune femme, à ses pieds). Venus, Cupidon, la Folie, et Temps a été peint par Agnolo Bronzino en 1540. Son tableau est exposé à Londres à la National Gallery. Bronzino utilise une composition au tiers dans sa toile. Les points d'intérêts se forment sur la tête de de Cupidon, sur la main de Vénus et sur le baiser de Vénus avec la Folie ; ce sont les éléments les plus importants du tableau et que l'artiste a voulu faire ressortir en utilisant cette composition. [...]
[...] GILLE Clément Histoire des arts 1L2 Gustave Caillebotte en 1875 a peint Les raboteurs de parquet, il est exposé au musée d'Orsay à Paris. Le peintre a élaboré son tableau à l'aide de la composition nommée Charles VII ; les diagonales se rencontrent sur l'un des raboteurs et sur la main du personnage à gauche. Il a utilisé cette composition pour que notre regard soit attiré par les personnages qui nettoient le sol. Caillebotte a appliqué une perspective mathématique à sa toile, cela se voit par la profondeur qui est marquée par les lattes de parquet ; il a tout calculé pour nous faire ressentir la grandeur de la pièce. [...]
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