Muralisme mexicain, Mexique, Vasconcelos, population indienne, idéologie
Le mouvement muraliste apparait au Mexique en 1920. C'est le seul mouvement « plastique » d'origine non européenne à atteindre une renommée internationale. C'est un mouvement artistique et idéologique. Il est fortement lié au contexte politique, social et culturel du Mexique.
Le gouvernement représente les classes populaires. J. Vasconcelos, ministre de la culture, souhaite créer un nouveau mode d'expression artistique au Mexique de façon à soutenir les aspirations de la population indienne qui a été opprimée pendant des siècles par la culture hispanique et chrétienne.
[...] Le muralisme mexicain ( Le mouvement muraliste apparait au Mexique en 1920. C'est le seul mouvement plastique d'origine non européenne à atteindre une renommée internationale. C'est un mouvement artistique et idéologique. Il est fortement lié au contexte politique, social et culturel du Mexique. Le gouvernement représente les classes populaires. J. Vasconcelos, ministre de la culture, souhaite créer un nouveau mode d'expression artistique au Mexique de façon à soutenir les aspirations de la population indienne qui a été opprimée pendant des siècles par la culture hispanique et chrétienne. [...]
[...] Dans cette peinture, il représente le peuple mexicain. Culture précolombienne : il veut raconter l'histoire du Mexique. Deux révolutions vont marquées Rivera: ( la révolution mexicaine de 1911; Emiliano Zapato et Poncha Villa lance un mouvement révolutionnaire, ils veulent exproprier les grands propriétaires. Ils commettent des attentats; Rivera va y participer et tente de commettre un attentat contre Porfirio Diaz. En 1917 : nouvelle constitution sur le travail et le social en faveur du peuple. Et distribution des terres aux paysans. [...]
[...] Leur objectif est de révolutionner l'art mexicain. C'est l'état qui va financer les peintures murales. A partir de 1922, l'état lance un mouvement de commande gigantesques peintures murales. Siqueiros dit : Nous condamnons la peinture dite de chevalet et tout l'art des cercles ultra-intellectuels parce qu'ils sont aristocratiques et nous glorifions l'expression de l'art monumental parce qu'il est public (à ce moment là, cubisme en Europe). A partir de 1950, le muralisme va épuiser sa sève révolutionnaire, plus de message politique mais seulement une question d'esthétique. [...]
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