Degas, impressionnisme, dessin, série femmes à leur toilette, nu féminin
Erreurs de l'impressionnisme, pour lui le dessin est le plus important.
Série femmes à leur toilette : il aborde avec un regard radicalement nouveau, le thème du nu féminin
il s'en exprime ainsi à l'écrivain irlandais George Moore: « jusqu'à présent le nu a toujours été représenté dans des poses qui présupposent un public, mais mes femmes à moi sont des personnes simples et
honnêtes qui ne s'occupent de rien d'autre que de leur existence physique ; EN VOICI une, elle se
lave les pieds. C'est comme si vous regardiez par le trou de la serrure. »
[...] Utilise aussi de la poudre de pastel qu il mélange avec de l eau afin d obtenir une pâte qu il applique au pinceau. Pour estomper les clrs, il sert de de la vapeur d eau, de ses doigts de chiffons ou de la traditionnelle estompe. Bien que le pastel soit opaque Degas parvient a créer de la transparence irisé. En procédant par couches successives appliquées en hachures sur des fonds contrastés, il arrive même à produire des pastels qui par la richesse de leur coloris soutiennent la comparaison avec les plus éclatantes p à l huile impressionnistes. [...]
[...] Pastel : s épanouir en tant que coloriste pr Degas. DEGAS, Hofmann femme nu ds milieu paradisiaque rien d érotique pr lui, il lui manque le décor sordide des intérieurs citadins, devant lequel ses femmes à leurs toilettes retrouveront ds les années a venir leur nudité fanée mais néanmoins primaire. Degas rehc l ambiguïté, ds ttes ses scènes de nu se révèlent la tension inhérente a un conflit aussi vieux que ce sujet Lorsque que durer dessina en 1496 son bain de femmes, il ouvrit a la peinture de nu moderne la possibilité d une nouvelle situation parfaitement profane, un certain contexte au seon duquel il ne reste rien d autre a l ho que sa condition de simple créature. [...]
[...] Sentiment de ra soutenu par la compo, reflètent ce que pourrai saisir le regard par une porte entrouverte. Degas se cache, cache sa maîtrise de l art ds son oe. Nu sensibilité qui oscille entre frisson de dégoût de l esthète et de la curiosité passionnée pr la vie. Sans sacrifier un seul atome de leur banalité il prête a ces corps tte la majesté de la sculpture cl ; ses femmes sont uniques mais sans jamais abandonner ce coté intemporel qui et la marque de l art antique. [...]
[...] Une vue de détail montre la femme dans un bac transportable visiblement enc&stré ds un espace intermédiaire sans quoi elle ne se retrouverai pas a coté d une table de toilette qui séparent verticalement la pièce empiète considérablement sur l liberté de mvts de celle qui habite les lieux. Cette chambre antithèse de l espace extérieur. Ds ce pastel, vue d en haut la femme semble en train de s effondrer ? La verticalité de son corps ne pourrait être courber de façon plus abrupte, son tracé ne saurait être plus cassant. Silhouette présente presque une brisure, une rupture au niveau du bassin. L arrondi de la baignoire forme un ovale qui maintient le désordre de la pièce. [...]
[...] Deuxième option Degas commence par présenter les monologues gestuels de ses femmes ds de modestes espaces. Une baigneuse, qui peut tt juste faire entrer son corps ds un tub, doit s adapter ses mvts au circonstances. Ils rendent sensible l état de contraintes ds lequel on se tve qd on ne peut rien s offrir de mieux. Ce contexte moderne a aussi une dimension symbo : l ovale du bac est le cryptogramme de l œuf, dont procède la vie. [...]
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