Shakespeare, école classique, Delacroix, Ingres, Victor Hugo, Girodet, Géricault, théâtre, romantisme, production artistique, art, peinture, oeuvre, oeuvres littéraires, Commentaire d'oeuvre, classicisme, révolution artistique, révolution
Durant le XIXe siècle, deux courants s'affrontent, le romantisme et le classicisme. Les romantiques qui font la révolution artistique sont contre la révolution. Ils font des tableaux qui plaident pour une école, une lutte artistique.
[...] De cela apparait alors un sentiment nouveau, la mélancolie (sentiment d'impuissance/fatalité qui nait devant les contradictions dures à résoudre). La mélancolie est un objet essentiel du romantisme, et pour mettre en place des aspirations contradictoires, l'artiste doit mettre en scène à la fois le beau et le laid. Il s'agit de montrer le vrai dans sa dualité, et non le beau idéal. Hugo revient aussi sur le rôle de l'artiste, qui est plus qu'un créateur : C'est celui qui dit la réalité. Il est en mesure de décrire au-delà de la réalité qu'on voit. Il est un révélateur. [...]
[...] Shakespeare et homérique - Classicisme et romantisme au XIXe siècle Durant le 19[ème] siècle, deux courants s'affrontent, le romantisme et le classicisme. Les romantiques qui font la révolution artistique sont contre la révolution. Ils font des tableaux qui plaident pour une école, une lutte artistique. Les difficultés de l'école classique L'école de David a dominé la production artistique, un règne sans partage, la production est liée a des formations dans des ateliers, les traditions et les savoirs faires se transmettent dans des ateliers. [...]
[...] Les Shakespeare Le romantisme apparait a la toute fin de l'empire, et devient un école concurrente a celle du classicisme et du néo-classicisme. Le romantisme veut réhabiliter le sentiment et l'homme connait aussi par ses sentiments. Évidemment David incarne ce rationalisme du 19[ème] siècle, l'art est sublimé, c'est la meilleure façon de dire la vérité. Ce romantisme n'est pas strictement français, il est européen. Rousseau est pré romantique. L'Angleterre joue un grand rôle pour a France a ce moment-là, les romans d'Ann Radcliff, châteaux hantées, ou encore Marie Shelley. [...]
[...] C'est aussi dans les salons que l'on tisse des réseaux et rencontre son public. Dans ces salons, on a à la fois la production académique (peinture religieuse, antiquité, peinture d'agrément dans la tradition académique : C'est la peinture pompier) et l'œuvre manifeste qui choque et propose un autre art. Le premier à se livrer à ces œuvres manifestes, c'est Jéricho, puis Delacroix, Courbet, Manet (avec le Déjeuner sur l'herbe). On crée un scandale pour se faire une place. On certains plusieurs tableaux que l'on peut considérer comme manifestes : Girodet, Pygmalion amoureux de sa statue Girodet est l'héritier de David. [...]
[...] Ils peuvent être écrits mais aussi souvent sous forme artistique. Dans le romantisme, on a deux manifestes : Stendhal qui publie en 1825 un essai Shakespeare et Racine dans lequel il explique ce qu'est le romantisme. « Le romantisme est l'art de présenter au peuple les œuvres littéraires qui, dans l'état de leurs habitudes et de leurs croyances, sont susceptibles de leur donner le plus de plaisir possible ». Selon toute évidence, pour lui l'art n'est pas fixe et change. [...]
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