art, histoire, classicisme, sculpteurs, peintres
trois personnages sont immportants dans l'histoire de l'art classique :
-Giorgio Vasari :
-Johan Winckelmann :
-Jacob Burckhardt :
[...] Il y a un campanilisme toscan dans son ouvrage, pour lui seul l'art toscan a une vraie valeur et donc il accentue l'importance des artistes de la Toscane et fait de la Toscane le berceau de la Renaissance. Vasari est un recueil de biographies indépendantes. La forme même qu'ont pris les écrits de Vasari, ne permettent pas l'écriture d'un récit linéaire et continu, c'est seulement une étape dans l'histoire de l'art. Mais ce modèle Vasarien va avoir une très grande postérité. A cause de campanilisme toscan, il a suscité toutes sortes d'émules et donc toutes sortes de récits qui ont pris le modèle de Vasari. [...]
[...] Il fait de la création artistique le produit d'une société particulière. Chez Burckhardt, l'œuvre d'art étant dépendante d'une organisation sociale, elle doit changer avec les modifications de la société et donc ce qui s'opère chez Burckhardt ; s'est l'abandon de l'idée d'un modèle unique de l'excellence artistique. Chaque société va produire des œuvres qui ne vont pas être opposées : première édition Vasari 1750 : Winckelmann 1860 : Burckhardt Les trois siècles qui ouvrent sur trois voix possibles de l'histoire de l'art Le projet de Burckhardt est que l'œuvre d'art dépende d'une civilisation particulière, projet repris par Hippolyte Taine, qui va écrire une histoire de l'art vers 1870. [...]
[...] A priori en histoire de l'art, on doit pouvoir étudier d'une façon distante et neutre les productions des arts visuels. [...]
[...] Né en 1818, mort en 1897, S'était LA référence pour les historiens de l'art de la Renaissance. Il a publié en 1860 La Civilisation de la Renaissance en Italie La civilisation de la renaissance en Italie laisse supposer que Burckhardt va parler de la Renaissance en Italie hors, a aucun endroit il ne parle des artistes ni des œuvres d'art. Il a fait un livre en forme d'introduction générale sur l'histoire de l'art de la Renaissance Italienne. Le premier chapitre est intitulé l'état comme création d'art et tout le reste de l'ouvrage, parle des mœurs de la civilisation, de la société, de l'individualité, la production artistique est toujours placée en arrière plan. [...]
[...] Il affirme deux choses contradictoires, en même temps il dit ce qui est le projet fondateur de l'histoire de l'art est que l'art grec est le fruit de l'histoire c'est à dire qu'il est lié à une civilisation particulière, à un climat particulier et donc qu'il ne peut pas revenir à ses conditions sociales et météorologiques. Il dit que l'art chez les grecs est unique, mais en même temps, il veut qu'on imite cet art. Tous les textes de Winckelmann, manifestent cette contradiction et cette tension. Il dédicace son histoire de l'art chez les anciens, C'est le premier qui a utilisé la locution histoire de l'art en 1768. Ce n'est pas l'histoire des artistes mais d'une historie de l'art. [...]
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