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Rapidement se constitue un marché d'art très divers : il se constitue assez rapidement, mais ça a commencé à la fin du XVIe après que la paix religieuse est revenue. On décore les intérieurs, mais aussi des façades, des jardins. Mazarin a été un collectionneur énorme, il a acquis tout ce que l'on peut acquérir, il a tout légué au roi, il avait acquis des tableaux de la collection de Charles I d'Angleterre. Certains ont disparu, on connait des oeuvres de Mazarin qui n'existent plus. On retrouve beaucoup de financiers qui investissent dans ces collections, ils achètent beaucoup en Italie, très vite, ils vont acheter pour le roi, aux artistes vivants. C'est le rôle important des ambassadeurs à Rome, ils sont chargés d'acheter des séries, des très beaux tableaux.
[...] Le marché des œuvres d'art Rapidement se constitue un marché d'art très divers, qui se constituent assez rapidement mais ça a commencé à la fin du 16[ème] après que la paix religieuse est revenue. On décore les intérieurs mais aussi des façades, des jardins. Mazarin a été un collectionneur énorme, il a acquis tout ce que l'on peut acquérir, il a tout légué au roi, il avait acquis des tableaux de la collection de Charles Ier d'Angleterre. Certains on disparut, on connait des œuvres de Mazarin qui n'existent plus. On retrouve. [...]
[...] On croit en des choses extraordinaires. Il y a la croyance que le rémora était censé pouvoir arrêter les vaisseaux ennemis. On collectionne des dents de géants comme ceux des éléphants, des dents de requin fossilisés. Les fusils ont cru que cela a été fait par un humain. L'objet lui-même peut s'acheter pour pas grand choses. Il y a un vrai gout pour l'exotisme, un voyage immobile quand les objets viennent de loin. La faune américaine a fasciné, les plumes, des fleurs. [...]
[...] Avec une professionnalisation dans le milieu de l'art, comment se former le gout. Il donc aussi un marché du faux, pour des tableaux, des statuts. Certains se spécialises dans la collection et la revente, ils sont même appelés à expertiser. On voit apparaitre Louis XIV, qui impose sont pouvoir dans ce domaine, a partir de 1661, il ne peut plus y avoir de collection plus belle que celle du roi. Colbert est le principal responsable de ce politique artistique, il va faire en sorte qu'il nourrisse la collection du roi, il va faire en sorte que les belles collections viennent aux rois. [...]
[...] Les collectionneurs achetés des contemporains, ils n'achètent pas des œuvres médiévaux. Certains marchés, comme celui de Rome, et c'est là que Poussin s'est installé avec d'autres européens, c là qu'il se crée une clientèle privée. Entre Rome et la France, il y a des intermédiaires qui sont les Lyonnais, des élites, des financiers. Ces Lyonnais attirent à eux toutes une série de peintres d'Italie mais attire aussi des peintres comme la famille Stella. Lorsqu'il rentre en France il travail pour richelieu, pour Anne d'Autriche. [...]
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