Il s'agit d'une allégorie mythologique qui fut peinte par Botticelli alors qu'il était au sommet de son art. La peinture est composée de trois plans. La scène qui est peinte représente des dieux qui font la fête. Mais les dieux n'ont pas été choisis au hasard, chacun à un rapport avec le Printemps.
Au premier plan de gauche à droite, on peut reconnaître Mercure avec son caducée qui chasse les nuages qui pourrait assombrir le ciel. Il est le fils de la déesse Maia qui donnera par la suite le mois de Mai.
[...] Cette composition des trois Grâces est reprise de l'époque hellénistique et a inspiré beaucoup d'artistes dont Botticelli. Cupidon qui est au-dessus de sa mère a encoché une flèche et vise une des trois Grâces A la droite du premier plan, on peut y voir Zéphyr qui attrape Chloris par la taille, celle-ci, le visage tourné vers son agresseur essaye de crier mais c'est une plante qui lui sort de la bouche. A côté d'elle, une femme vêtue d'une robe aux motifs floraux, éparpille des roses.qui est le symbole de Vénus. [...]
[...] Car Vénus était la déesse de la végétation. Elle est, ici, la reine et la déesse de ce jardin paradisiaque mais aussi en tant que qu'Aphrodite, la déesse de l'amour respectable. Elle désigne à son fils l'une des trois Grâces qui sera promis à un mariage. En conclusion, ce lieu ainsi que les dieux et les déesses qui y sont réunis illustrent l'amour chaste. Mais cette scène représente aussi la naissance du Printemps qui est symbolisée par ces dieux et déesses. [...]
[...] Botticelli peindra alors un cycle allégorique qui commença avec la peinture Le Printemps, qui deviendra le symbole de Florence sous Laurent Le Magnifique mais comprend aussi la naissance de venus et Pallas et le centaure. Ce cycle d'allégories est conservé à l'Office. Il s'agit d'une allégorie mythologique qui fut peinte par Botticelli lors du sommet de son art. La peinture est composée de trois plans. La scène qui est peinte représente des dieux qui font la fête. Mais les dieux n'ont pas été choisis au hasard chacun à un rapport avec le Printemps. [...]
[...] Elles dansent en se tenant délicatement les mains et représentent la concorde et la sérénité. Deux des trois Grâces se regardent dans les yeux tandis que la troisième regarde ailleurs. Les trois Grâces représentent la puissance et sont les protectrices de la nature. Elles sont souvent appelées Aglaé, la brillante, Thalie, celle qui fait fleurir et Euphrosyne, celle qui réjouit les cœurs traduisant les sentiments et la perception des personnes quand le Printemps arrive. Elles sont souvent associées à d'autres dieux ou déesses. [...]
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