Cinéma classique, cinéma postmoderne, Sergio Leone, John Ford, western crépusculaire, western, Le western crépusculaire - et après, cinéma hollywoodien, James Mallahan Cain, Luchino Visconti, Tay Garnett, Bob Raphelson, réalisme, western contemporain, Django Unchained, Quentin Tarantino, Westworld, The Revenant, Alejandro González Iñárritu, Jonathan Nolan
Il s'agit d'une étude argumentée de plusieurs documents sur la thématique de l'évolution du cinéma. Parmi les documents à étudier, nous retrouvons le dossier « Le western crépusculaire, et après » issu du magazine « Positif » n° 698 (avril 2019), ainsi que des questions telles que les suivantes :
- À partir de la définition fournie et des deux séries de photogrammes présentés, comparez les découpages d'un film classique et d'un film moderne pour répondre aux questions.
- Si le western est genre souvent considéré comme disparu aujourd'hui, montrez, à travers une sélection personnelle de photogrammes pouvant faire écho à ceux présentés dans le document, que le genre exerce une influence esthétique sur le cinéma postmoderne contemporain.
- À partir de la remarque fournie, expliquez pourquoi les deux premières adaptations cinématographiques du roman en question sont françaises et italiennes et non américaines.
[...] L'une des différences principales que l'on peut relever est d'ordre temporel, où Ford s'inscrit dans une période où le film est classique, alors que Léone se situe dans la lignée dans films modernes. Sources : https://www.franceculture.fr/emissions/une-vie-une-oeuvre/sergio-leone-1929-1989-lexperimentateur-populaire https://revusetcorriges.com/2019/01/31/sergio-leone-consensus-cinephile/ http://ww2.ac-poitiers.fr/dsden16-pedagogie/sites/dsden16-pedagogie/IMG/pdf/john_ford.pdf Partie 3 Explicitez, selon vous, les ressemblances et les différences entre les deux séries de photogrammes : Dans The searchers de John Ford, il est intéressant de noter que les plans s'alternent de façon binaire, avec par exemple une variation régulière entre les plans où l'on voit les personnages de dos puis de face, en terminant sur un plan global. [...]
[...] Michael Riva. Compositeurs : / Producteurs : Reginald Hudlin, Pilar Savone et Stacey Sher. Jamie Foxx : Django Freeman Christoph Waltz : King Schultz Leonardo DiCaprio : Calvin J. Candie Kerry Washington : Broomhilda von Shaft Samuel L. Jackson : Stephen, le majordome Westworld, États-Unis saisons épisodes, durée de l'épisode : entre 60 et 90 minutes. Réalisateurs : Jonathan Nolan (pilote), Jonny Campbell, Richard J. Lewis, Fred Toye, Stephen Williams. Scénaristes : Jonathan Nolan et Lisa Joy. Directeurs de la photographie : Jonathan Carlos, Dennis Bradford, Naaman Marshall. [...]
[...] Ce type de scène est typique du cinéma postmoderne, où l'on montre une autre vision, une autre réalité, afin de faire participer le spectateur pas son imagination. Dans celle de Visconti, le meurtre n'est pas montré une nouvelle fois. En effet, nous apercevons seulement la voiture disparaitre au loin, où la musique prend la place de la voix au fur et à mesure. Ces canons esthétiques sont en rapport avec le cinéma classique où une certaine continuité au niveau de la succession des plans est visible, où l'enjeu principal est celui du scénario, de l'intrigue. [...]
[...] La première séquence illustre les principes du cinéma classique avec son illusion d'un monde homogène et continu, communicant l'histoire de façon efficace, montrant une certaine théâtralité. Toutefois, le dernier plan rompt avec les précédents, proposant un plan demi-ensemble, qui casse la rythmique installée. De plus, ce plan ne découle pas d'une logique narrative, n'ayant pas un lien direct avec le plan précédent, ce qui annonce le cinéma moderne. Dans quelle mesure la seconde séquence appartient-elle à la modernité mais annonce-t-elle également certains aspects du cinéma post-moderne ? La seconde séquence appartient à la modernité de par le réalisme proposé. [...]
[...] Le fond narratif est original, davantage inspiré de la science-fiction avec ces robots humanoïdes, la thématique du parc d'attraction semblable à jeux vidéo où tout est permis, le tout revêtu d'une esthétique propre au western. Cette série permet au western de sortir de son cadre habituel, et en propose une véritable réinvention. Questions Question 8 The Revenant, États-Unis minutes. Réalisateur : Alejandro González Iñárritu. Scénaristes : Alejandro González Iñárritu, Mark L. Smithy. Directeur de la photographie : Jack Fisk. Monteur : Stephen Mirrione. Décorateur : Michael Diner. [...]
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