La situation économique actuelle du cinéma romand et son influence sur le financement des films - publié le 05/07/2024

Thèmes abordés

Bachelor of Arts, cinéma romand, Bollywood, cinéma chinois, cinéma hongkongais, cinéma taiwanais, Hollywood, France, Suisse, cinématographie, festival de Cannes, cinéma français, EuropaCorp, crowdfunding

Résumé du document

Bollywood est l'industrie du cinéma musical indien situé à Bombay. C'est également le nom équivalent d'Hollywood, d'où la proximité dans le nom donné. En effet, il s'agit d'une contraction entre Bombay et Hollywood, donnant ainsi Bollywood. Encore sous tutelle britannique dans les années 1920, l'Inde a compris l'importance du cinéma et l'impact positif que cela engendre sur les autochtones. Ce n'est que dans les années 1960 que le gouvernement indien est intervenu dans la cinématographie.
Le cinéma français occupe une grande place également de par la langue parlée dans le monde. En effet, avec Paris comme ville Lumière qui attire les foules et les touristes d'une part et la langue de Molière qui suscite l'envie de la parler, il est un fait certain que les parts de marché deviennent importantes grâce aux convoitises.
C'est dans ce sens que de nombreux producteurs français percent à l'étranger à l'image de Luc Besson notamment. Et que de nombreux producteurs viennent travailler en France.

Extraits

[...] La situation économique actuelle du cinéma romand et son influence sur le financement des films I. Présentation de la situation économique actuelle des différents pays par rapport au cinéma Bollywood Bollywood est l'industrie du cinéma musical indien situé à Bombay1. C'est également le nom équivalent d'Hollywood, d'où la proximité dans le nom donné. En effet, il s'agit d'une contraction entre Bombay et Hollywood, donnant ainsi Bollywood. Encore sous tutelle britannique dans les années 1920, l'Inde a compris l'importance du cinéma et l'impact positif que cela engendre sur les autochtones. [...]

[...] C'est dans ce contexte que la Suisse le 20 octobre 2005, ratifié la convention sur la protection de la diversité culturelle. Bien qu'elle ne soit pas membre de l'Union Européenne, la Suisse, en tant que membre de l'UNESCO (Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture), a pu signer et donc adhérer à cette convention. Cette ratification n'est pas sans conséquence. Puisqu'elle permet à la Confédération helvétique de subventionner comme elle l'entend dans le domaine culturel : télévision, art, cinéma, littérature et musique.35 D'autant plus que, qui dit diversité culturelle, dit immigration. [...]

[...] Ça consiste à conserver le cinéma français au 1er rôle. Et à maintenir un film du début jusqu'à la fin. Car trop souvent, dans des pays où l'organisation est moins bien structurée et où les producteurs sont voués à eux-mêmes. Alors, les films n'aboutissent pas ou s'éternisent sur de nombreuses années, ce qui est finalement improductif pour toutes les parties c'est-à-dire tous les acteurs du film, qu'ils soient devant ou derrière la caméra. Les producteurs indépendants français L'Union des Producteurs de Cinéma situé à Paris, a vu le jour en 2016 à la suite d'une fusion entre l'Association des Producteurs de Cinéma (APC) et l'Union des Producteurs de Films (UPF). [...]

[...] - des mandats groupés afin de couvrir plusieurs droits. - des apports de pays étrangers souhaitant investir dans un film. - des régions de l'Hexagone. Certaines régions ont un pourcentage plus élevé grâce au nombre de films produits. Paris est en 1re place devant la Provence, Alpes et Côte d'Azur. - de la SOFICA. (Voir le point 3.5.3) - du CNC. La France est le 3e plus grand producteur au monde derrière les Etats-Unis et l'Inde que ce soit en termes de volume et de valeur. [...]

[...] A la suite d'un différend entre les 2 hommes, Pierre-Ange Le Pogam s'est retiré de l'entreprise en 2011. Luc Besson est le Président du conseil d'administration. Depuis le 31 mars 2018, il ne détient plus que 31,57% A eux les fondateurs ont fait de nombreux films qui ont cartonné comme : les « Taxi », « le Baiser Mortel du Dragon » en 2001, les « Transporteur », les « Taken », Bandidas et Dikkenek en 2006, Hitman en 2007 et « l'Immortel » en 2010. Le reproche qui est fait aux films de cette décennie, c'est qu'il s'agit quasiment tout le temps de films où il y a une ou plusieurs méchants où le héros vient les battre. [...]