Logorama, court métrage, provocation, satire, société de consommation, droit des marques, critique de la société
Résumé: «Course-poursuite effrénée dans la ville de Los Angeles. Deux flics (Michelin) prennent en chasse un gangster (Ronald McDonald) qui prend en otage deux enfants (Haribo et Big Boy) et menace de leur faire sauter la tête avec sa mitraillette (sigle de la Fraction Armée rouge). Le bain de sang est interrompu par un séisme qui fout la ville par terre, et notamment le zoo, d'où s'échappent le lion de MGM, le crocodile Lacoste, le panda WWF et bien d'autres….»
[...] Pour conclure, au travers de cette provocation ou satire; chacun est libre de son interprétation; se cache une liberté d'expression bafouée aux USA dissimulée sous une animation 3D amusante. Ce court-métrage représente la société de consommation actuelle en plein boom, mais aussi en crise, démontrant tout les protagonistes de la «fin du monde» si nous n'agissons pas. Ce film reste complexe, car de multiples interprétations peuvent être faites, selon les auteurs, il n'y avait aucunement le désir de critique. En plus de cela, ce film aurait du subir des milliers de procès . mais rien . Comment interpréter cela? La notoriété . [...]
[...] Logorama. Résumé: «Course-poursuite effrénée dans la ville de Los Angeles. Deux flics (Michelin) prennent en chasse un gangster (Ronald McDonald) qui prend en otage deux enfants (Haribo et Big Boy) et menace de leur faire sauter la tête avec sa mitraillette (sigle de la Fraction Armée rouge). Le bain de sang est interrompu par un séisme qui fout la ville par terre, et notamment le zoo, d'où s'échappent le lion de MGM, le crocodile Lacoste, le panda WWF et bien d'autres Après avoir vu ce cour métrage de 15 minutes, j'ai pu observer deux aspects principaux du film: _ Le premier étant de divertir, en effet c'est un film d'animation comme un autre, utilisant les logos internationaux de notre jeunesse qui nous entourent, constituant une film d'action amusant, au langage familier. [...]
[...] Cependant McDonald était l'une des seules compagnies internationale excédentaire au moment de la crise. Quant aux Bibedum ils représentent une certaine forme de sureté sur la route, avec une critique du policier américain digne des super productions. S'en suit, après une course poursuite effrénée et destructrice, le début du séisme, pressenti par les animaux, annonçant la destruction des marques. Cette destruction planétaire est représentée par une marre de pétrole se déversant dans les rues (provocation pour les groupes pétroliers?), faisant apparaitre le logo «North Face», peut-être en rapport avec l'actuelle fonte des glaces. [...]
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