Filière cinématographique, producteur, distribution, distributeur, exploitant, programmateur, film, Charles Pathé
Films distribués: environs 600 par an (555 en 2008 contre 575 en 1978)
Films USA: 28%
Films France: 27% (en augmentation)
Les films au début étaient vendu au mètre à diverses exploitation (forains, salles…) et les exploitants devaient suivre la demande et proposer de plus en plus de films. Seulement les exploitant ont le besoin d'avoir un retour sur leurs ventes.
[...] La programmation d'un film. Qui l'assure, quels sont ces critères? * la programmation se fait par la salle, l'exploitant, le directeur de la salle ou par une entente de programmation au niveau régionale ou locale. Le programmateur de salle existe depuis avant les années 50, mais c'est en 57 qu'il va prendre toute son importance. A partir de la crise de 1957 avec la fermeture des salles de cinéma, notamment en provinces, on se concentre sur les grandes villes, surtout sur la capitale. [...]
[...] La période de durée du mandat peut aller de 3 à 7 ans. Les distributeurs prélèvent une commission qui va de 15 à 25% de la recette du film (les distributeurs se remboursent sur la recette) les distributeurs agissent en qualité de simple intermédiaire Et la cession des droits de commercialisation: c‘est le distributeur qui se substitue au producteur dans l‘exercice des droit de commercialisation il devient propriétaire de ces droits de commercialisations. Les distributeurs prélèvent 20 à 40% des recettes en salles. [...]
[...] Pour optimiser son choix, le programmateur à un certain nombre de critères: 1. situation géographique de la salle (a-t-elle une concurrence en face, est-ce l'unique cite qui propose tel film?) 2. La politique éditoriale: on ne programme pas de la même manière un multiplexe ou une salle indépendante. Ambition pour la salle programmée Quel est la composition du public de la salle (étudiants, art et essai, enfants Une fois la programmation théorique effectuée par les programmateurs, il appelle le distributeur pour négocier avec lui les droits du film. [...]
[...] * L'autre de nature financière: 1. L'à valoir, la coproduction (acheter des parts sur les négatifs) Le financement des frais de copies ou des frais d'édition qui représentent 10 à 15% du coût d'un film. Liens entres distributeurs et exploitants: * Lien juridique: contrat de location qui consiste à la vente du film à l'exploitant (qui doit être rédigé). C'est l'acte commercial essentiel du distributeur, c'est sa principale fonction. Ces droits doivent comporter un ensemble d'information et doivent être signés par salle (par écran). [...]
[...] Si l'exploitant avait suffisamment de bobine en stock il n'écoulait pas au rythme voulu par le producteur les nouvelles bobines. Charles Pathé: écoulement plus rapide des bobines système de location. Il partait sur le principe que l'achat définitif des bobine signifiait un abandons de celles-ci par l'exploitant. A travers la location le film fait plus de recette. Plus intéressant pour le loueur et le producteur. A partir de 1906 c'est cette solution qui s'impose en France. La profession de loueur est donc née. [...]
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