Dame, shanghai, orson, welles
Un soir, Michael O'Hara rencontre Elsa Bannister, la femme d'un célèbre avocat de criminel. Il l'a sauve d'une agression et pour le remercier, elle lui offre un boulot sur son yacht. Michael refuse mais par la suite il sera convaincu par son mari M. Bannister. O'hara tombe progressivement amoureux de Elsa et rentre doucement dans les combines de l'un des associés de M. Bannister. L'associer lui demande de faire semblant de le tuer pour que celui-ci parte loin et se fasse oublié. Michael ne sera pas condamné car personne ne pourra retrouver le corps. L'associer quand à lui sera déclaré mort. Il accepte 5000$ pensant partir avec Elsa. Malheureusement tout tourne mal. L'associer est tué réellement et Michael qui avait fait une confession de meurtre est tout de suite arrêté. Michael arrive à s'échapper avant le verdict et est résolu à trouver l'assassin. Finalement, il comprend que Elsa avait tout à gagné de sa mort. Elsa et son mari se retrouve dans un parc d'attraction et s'entretueront sous les yeux de Michael.
[...] L'activité spectatorielle 3. La conscience des codes génériques et les interactions entre les différents champs médiatiques 4. Traits d'écritures modernes 5. Traits d'écritures classiques Femme fatale 7. intrigue complexe et invraisemblable 8. Imposition d'un point de vue au film ANALYSE DU FILM : Dans ce film d'Orson WELLES, on peut remarquer une esthétique associant des traits classiques et d'autres beaucoup plus novateurs. WELLES à apprit le cinéma avec l'œil du spectateur. Il s'enfermait pour regarder le maximum de films et à donc appris comme cela. [...]
[...] Cela va permettre de donner beaucoup plus de grandeur aux pièces. L'exemple type est la scène ou l'associé de M. Bannister demande à O'Hara de le tuer. On peut aussi observer une magnifique contre plongé qui grandi très fort l'associer. L'obligation de construire un plafond est donc nécessaire vu que celui-ci est visible à l'écran. Au niveau de la profondeur de champ l'exemple le plus criant est selon moi lorsque O'Hara est Elsa se parle sur le ponton à l'avant plan pendant que George à l'arrière les écoute. [...]
[...] L'histoire de La Dame de Shanghai nous est racontée par lui et s'identifie fortement au film. Il insiste sur bien sur son point de vue et non celui des personnages. Le point de vue de la caméra est celui de WELLES qui insiste bien sur sa présence. On peut remarque ici que WELLES utilise M. O'Hara pour raconter l'histoire. L'histoire ne semble pas se dérouler d'elle-même et est relaté via une voix-off. Pour ce qui est de l'intrigue, on à vraiment du mal à comprendre des fois l'histoire et son déroulement. [...]
[...] WELLES arrive à donner une tension dramatique aux personnages. On remarque dans ses films une grande conviction de sa supériorité. Il joue en effet pratiquement toujours de grand rôle et est beaucoup à l'écran. Il aime prendre en charge les mauvais rôles et tente d'édifier sa légende. On peut observer aussi des traits du film noir. La femme fatale peut être représentée par Elsa qui arrive à convaincre O'Hara de fuir avec elle et de la sauver. Elle arrivera à le manipuler très facilement. [...]
[...] Bannister. L'associer lui demande de faire semblant de le tuer pour que celui-ci parte loin et se fasse oublié. Michael ne sera pas condamné car personne ne pourra retrouver le corps. L'associer quand à lui sera déclaré mort. Il accepte 5000$ pensant partir avec Elsa. Malheureusement tout tourne mal. L'associer est tué réellement et Michael qui avait fait une confession de meurtre est tout de suite arrêté. Michael arrive à s'échapper avant le verdict et est résolu à trouver l'assassin. [...]
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