Cinéma français, Septième Art, histoire du cinéma, diagnostic interne, concurrence, distribution, échantillonnage
Baptisée « Septième art » par Riciotto Canudo, l'aventure du cinéma lancée par les Frères Lumière a été poursuivie par de grandes figures célèbres telles que Léon Gaumont ou Charles Pathé afin d'étendre ce loisir à l'échelle mondiale.
Retraçons brièvement l'histoire du cinéma. Les prémices du Septième Art débutèrent en 1895 avec les Frères Lumière qui permit en 1914 l'apogée du cinéma muet. C'est en 1929 qu'une révolution du cinéma s'installe pour donner naissance au cinéma parlant. 1945 est également considérée comme une date charnière dans son histoire puisqu'elle témoigne de l'arrivée de la couleur. On peut ensuite citer 1960 avec l'apogée du cinéma d'auteur, 1974 et le triomphe des superproductions et enfin 1989 qui signe la suppression des barrières et des frontières à l'expansion du cinéma.
[...] Après avoir analysé le marché du cinéma en France, nous avons conjointement construit un questionnaire. Ce dernier a été élaboré dans l'objectif de discerner au mieux les sources d'informations privilégiées par les consommateurs lors d'un choix de films au cinéma. Dans cette perspective, il était d'autant plus intéressant d'établir un parallèle entre ces sources et la confiance que les consommateurs leur accordent. Nous avons décidé d'administrer les questionnaires : Comment ? En face à face : Où ? Au cinéma : Notre échantillon s'étend sur 250 personnes de 6 à 78 ans. [...]
[...] On pourrait donc supposer que la part des cadres et professions supérieures est plus élevée dans les grandes villes, en comparaison avec celle du territoire au complet. Environnement socioculturel : L'environnement socioculturel est également en évolution. On ne se contente plus de proposer des séances de cinéma. En effet, l'apparition des multiplexes a révolutionné ce marché. Beaucoup de nouveaux services se développent : on peut prendre pour exemple le cinéma MK2 Bibliothèque de Paris, qui non seulement propose des séances de films, mais également une DVDthèque, une librairie, et un café/snack. Les festivals cinématographiques fleurissent également. Le prestigieux Festival de Cannes n'est désormais plus seul. [...]
[...] Cela signifie qu'à terme, cette part ne va cesser de diminuer. Cela montre également que le cinéma est concurrencé par de nombreuses autres sources de divertissement audiovisuelles. L'offre En 2004, le marché du cinéma emploie personnes dans 8160 entreprises, dont la grande majorité est de petite taille puisqu'elles comportent moins de 10 employés. Les dix plus grandes entreprises du marché réalisent à elles seules du chiffre d'affaires global des entreprises du secteur s'occupent de la production et de la distribution. [...]
[...] Sans ces films, le marché du cinéma n'a aucune existence. Le marché du cinéma a subi une évolution ces dernières années. Les consommateurs sont largement influencés et incités par les différents types de publicités (affiche, passage radio ) et apparitions d'acteurs dans des émissions télévisées permettant la promotion du film. En effet, comme vous le constaterez dans la partie sur l'offre, les moyens pour sensibiliser les spectateurs sont très conséquents. De plus, les critiques bénéficient de plus en plus d'écoute avec la possibilité de s'exprimer sur des plateaux de télévision ou dans la presse. [...]
[...] Nous pouvons constater des cycles de 3 à 4 mois. Après chaque pic de sortie, il y a une forte baisse du nombre de sorties. Par exemple, le mois de mars dépasse les 60 sorties et le mois d'avril n'atteint pas les 50 sorties. Ce graphique nous permet de constater que les sorties des films ne correspondent pas forcément avec la fréquentation des salles. On remarque en effet que le mois de mars qui a connu un grand nombre d'entrées de films a une faible fréquentation des salles. [...]
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