Les premières projections cinématographiques en Corée datent de 1898, à peine trois ans après la naissance du cinématographe en France : celles-ci sont l'initiative d'Asthouse, un industriel américain, venu présenter des courts-métrages de la société Pathé à Séoul. Dès l'année suivante, Elias Burton Holmes, un autre américain, présente des documentaires à Séoul lors de séances d'abord réservées à la cour impériale, puis ouvertes au public. Holmes tourne également quelques documentaires, les premiers films réalisés sur le sol coréen.
La popularité du cinématographe s'élargit en juin 1903, lorsque deux experts de la compagnie électrique Hansong, Henry Collbran et H.R. Bostwick, organisent des projections publiques de courts-métrages français à Séoul, dans un entrepôt abandonné, qui connaissent un fort succès. En juillet, d'autres projections ont lieu à Séoul dans le Nouveau Théâtre National de Corée (...)
[...] Deux chiffres illustrent la vitalité de ce marché. Tout d'abord, la part que représente l'industrie du divertissement dans l'économie coréenne : celle-ci est passée de 8,5 milliards de dollars en 1999 à 43,5 en 2003. Ensuite, la vitalité de ce secteur à l'exportation : cette même année, la Corée du Sud a exporté l'équivalent de 650 millions de dollars en produits culturels[42]. La vidéo Le problème majeur de la Corée en ce qui concerne la vidéo est le piratage : en effet, une enquête menée par le MPAA (Motion Pictures Association of America) en 2004 établissait déjà que le téléchargement illégal était une pratique courante chez 58% des internautes (voir tableau). [...]
[...] p.10 La vidéo . p.13 Bibliographie . p.14 I. Histoire économique du cinéma coréen. Les premières projections cinématographiques en Corée datent de 1898, à peine trois ans après la naissance du cinématographe en France : celles- ci sont l'initiative d'Asthouse, un industriel américain, venu présenter des courts-métrages de la société Pathé à Séoul. Dès l'année suivante, Elias Burton Holmes, un autre américain, présente des documentaires à Séoul lors de séances d'abord réservées à la cour impériale, puis ouvertes au public. [...]
[...] Il convient de noter que des abonnés se répartissent entre les 8 principaux câblo-opérateurs. Enfin, un bouquet satellitaire appelé Skylife propose 74 chaînes télévisées services de paiement à la séance services de radio et 20 services de données à près de 2 millions d'abonnés[31]. La Corée compte trois principaux groupes audiovisuels en matière de diffusion hertzienne : le Korean Broadcasting System réseau public fondé en mars 1973, possède 2 chaînes hertziennes nationales chaîne diffusée sur Skylife chaîne internationale (KBS World) stations locales et 11 bureaux à l'étranger (20 correspondants dont 3 à Paris)[32]. [...]
[...] Dossier Loin d'Hollywood Economie du cinéma Sud-Coréen I. Histoire économique du cinéma coréen . p.2 II. La situation actuelle du cinéma coréen . p.6 Etat et cinéma . p.6 Le financement du cinéma . p.8 La production . p.8 La distribution . p.9 L'exploitation . [...]
[...] (URL disponible dans la sitographie) Ardjoum (Samir) et Skho (Sidy), Cinéma coréen : entretien avec Antoine Coppola juillet 2008. (URL disponible dans la sitographie) L'article de Magali Payen écrit depuis trois ans mais cet article étant lui-même non daté (on peut juste savoir qu'il est postérieur à 2005, puisqu'il traite de films sortis cette année-là), il est impossible d'apporter davantage de précisions. Payen (Magali), op. cit. Ardjoum (Samir) et Skho (Sidy), op. cit. Frodon (Jean-Michel), op. cit. Ibid. [...]
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