Le cinéma Histoire du cinéma Création du cinéma
Le cinéma est tantôt considéré comme un divertissement, un art ou un spectacle, voire une combinaison de ces aspects. Il expose au public un film, c'est-à-dire une oeuvre composée d'images en mouvement projetées sur un support, généralement un écran blanc, et accompagnées généralement de sons. Depuis son invention, le cinéma est devenu à la fois un art populaire, une industrie et un média. En français, il est couramment désigné comme le « septième art ».
Voici une partie de l'introduction de l'exposé sur le cinéma. Celui-ci contient 20pages racontant l'histoire du cinéma. Des premiers essaies jusqu'à nos jours. Il a été présenté en classe de seconde, la note obtenue a été de 18/20.
[...] Le son fut donc très vite intégré, de manière optique, sur le bord de la pellicule. C'est une lampe qui éclaire cette piste optique : l'intensité de la lumière traversant le film est mesurée par une cellule photoréceptrice qui la transforme à son tour en un signal électrique envoyé vers une chaîne d'amplification classique. Sur les films au format 70 mm, le son est encodé sur la pellicule à côté de l'image. Le Cinéma d'animation Émile Reynaud, dessinateur français, est le précurseur de l'art de l'animation car c'est en 1892, avant l'apparition du cinématographe, qu'il commença à projeter sur écran, à l'aide d'un Praxinoscope*, ses propres dessins réalisés et coloriés à la main. [...]
[...] En effet, Edison n'avait pas déposé de brevet international. Parmi ceux-ci, plusieurs réussiront, dont Eugène Lauste avec son Ediloscope* ou les frères Lumière qui déposent un brevet pour leur cinématographe le 13 février 1895. La propagation du cinéma Après avoir tourné plusieurs films en 1894 et en avoir effectué des projections privées en 1895, les frères Lumière décident d'organiser, le 28 décembre au Salon indien du Grand Café à Paris, une projection publique payante d'un programme comprenant notamment L'arroseur arrosé*, Le Repas de bébé* et La sortie de l'usine Lumière à Lyon*. [...]
[...] Il faut attendre avril 1923, à New York, pour qu'une projection commerciale soit effectuée. On parle alors de « films parlants » ou encore de « talkies » ; une expression populaire américaine à consonnance péjorative désignant, encore à ce jour, les tout premiers films parlants, maladroits et rudimentaires. La comédie musicale Chantons sous la pluie réalisée en 1952 par Stanley Donen et Gene Kelly illustre d'ailleurs les débuts parfois laborieux du cinéma sonore. C'est en 1932 qu'il devient une technique à part entière dans le monde du cinéma. [...]
[...] En 1931, René Clair tourne Sous les toits de Paris et contourne le problème posé par la capture du son : certaines scènes sont muettes parce que les acteurs se trouvent trop éloignés ou situés derrière une vitre, d'autres sont sonores mais se déroulent dans l'obscurité où le son permet d'imaginer l'action. Cependant, le cinéma parlant posa un problème de taille : la diversité des langues. Plusieurs solutions sont imaginées, comme tourner le même film, avec les mêmes décors, mais avec des acteurs différant selon la langue. [...]
[...] Ces solutions provoquent en outre un envol du nombre de coproductions internationales. Ainsi, le cinéma sonore mit du temps à prendre son essor, et ce n'est qu'avec le développement des techniques de montage et d'enregistrement qu'il réussit à se faire une place aux côtés du cinéma muet. Ce dernier finit même par disparaître, même s'il exerça des influences manifestes sur certains réalisateurs comme Jacques Tati ou Aki Kaurismäki, qui réalisa un film muet, Juha, en 1999. (ci-dessus: un gramophone.) Apparition de la couleur L'arrivée de la couleur au cinéma a eu un impact différent de l'arrivée du son. [...]
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