Tous les actes « communiants » internes ou externes.
Aspect technique (rédaction de documents divers, usage des TIC, maitrise des outils).
Aspects stratégiques (marketing produit ou de l'entreprise vis-à-vis de ses clients et de ses différents partenaires).
Quel que soit le domaine d'application, la communication qu'elle soit d'entreprise ou non, passe aujourd'hui par l'image (information, divertissements, échanges sociaux, promotion, production, vente, etc.).
Par tous les moyens possibles (TV, ordi, salle de cinéma, téléphones portables, etc.).
L'image au sens propre ou figuré est structurée/définie par des signes, des codes, des règles, des catégories, des usages…
Bref, l'image est le produit de signes, d'une déclinaison de signifiants et de signifiés qui l'inscrivent dans ce qu'il est convenu d'appeler le langage.
[...] Le producteur dispose donc d'un double rôle puisqu'il est à la fois responsable financièrement et artistiquement. Le producteur délégué : Le producteur délégué (ou l'entreprise de production) a le mandat de gestion de l'ensemble des coproducteurs et des différents intervenants financiers. Il est le responsable juridique et financier du film vis-à-vis des autres investisseurs. Il établit les contrats de cession de droits avec les auteurs, d'engagement des artistes interprètes, des techniciens, d'assurances. Le producteur délégué est l'employeur du réalisateur et des artistes interprètes. [...]
[...] Objectif du protagoniste : c'est l'obj de plus important du film. C'est le but que se fixe le protagoniste au début du film et qu'il s'efforcera d'atteindre cet obj doit rester présent et être dramatisé (grâce aux obstacles) Le film débute véritablement avec sa déclaration (fin de l'exposition) et lorsque le protagoniste l'atteint ou ne peut plus l'atteindre, le film s'achève (juste avant le dénouement) Objectif de l'antagoniste (ou contre obj) : cet obj est aussi important que le précédent puisqu'au cours du film, l'antagoniste doit s'opposer au protagoniste. [...]
[...] L'image artistique est totalement non réaliste musique, effets, angles de prise de vue, montage . Intensité, intimité, ubiquité (transport dans l'espace et le temps). L'image filmique nous donne une reproduction du réel dont le réalisme apparent est en fait dynamisé par la vision esthétique du réalisateur (M. Martin). Une réalité intellectuelle et signifiante L'image filmique est plus dense et plus efficace qu'une simple reproduction. Idem pour al signification. L'image filmique reproduit les événements filmés par la caméra, mais ne livre leur signification. [...]
[...] L'écriture et approche du scénario L'écrit Ecriture est-ce qui fonde la cohérence d'une production, est ce qui distingue en bon film d'un mauvais. Quel que soit le genre de film ou toute autre production intellectuelle et culturelle. Peut être soumis à des contraintes diverses. (Cahier des charges, choix esthétique. Notion à comprendre dans son sens le plus large : faire du sens. Si non narratif : un concept, une idée, une contremaitre. L'écriture existe même si on n'y a pas pensé (mais elle n'est pas maitrisée). Idem que la notion de Pb pour un mémoire ou toute production intellectuelle. [...]
[...] Représentation exacte, physique, matérielle du sujet. Comment énoncer en cinéma des concepts, des abstractions, des idées ? Le cinéma parvient à exprimer ses idées générales grâce à la dimension symbolique des images. Mais surtout parce que la généralisation s'opère dans la conscience du spectateur à qui on suggère des idées. Une caractéristique déterminante dans notre rapport à l'image filmique : nous la vivons toujours au présent. C'est ce présent qui suscite, renforce nos émotions et qui amalgame réel et représentation. [...]
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