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À travers le film « The Way back » ou « Les Chemins de la liberté », réalisé par Peter Weir et sorti en 2010, nous avons pu observer que de nombreux types de paysages sont représentés, tels que la taïga sibérienne, les hauts sommets de l'Himalaya ou encore les steppes arides de Mongolie. Par ailleurs, nous avons pu également examiner le regard que portent les différents protagonistes sur les espaces qu'ils traversent, ainsi que leur ressenti.
[...] On y découvre alors une vaste forêt boréale parsemée de résineux enneigée qui témoigne de l'immensité paysagère de la Sibérie, on ne voit que des arbres à l'horizon et un espace de désolation. Par ailleurs, on peut voir que les marches dans la haute neige, dans des espaces balayés par un vent glacial, donnent du fil à retordre aux protagonistes. Ces forêts boréales manquent clairement de ressources naturelles, du fait du froid extrême qui réduit les sources d'alimentations disponibles, ce qu'obligent les protagonistes à se rationner. D'ailleurs, la taïga est si impitoyable que Kajik, parti chercher du bois, se retrouve perdue en pleine nuit dans un espace ou tout se ressemble. [...]
[...] The Way Back - Peter Weir (2010) Quels impacts ont les différents paysages représentés dans les œuvres ? À travers le film « The Way back » ou « Les Chemins de la liberté », réalisé par Peter Weir et sorti en 2010, nous avons pu observer que de nombreux types de paysages sont représentés, tels que la taïga sibérienne, les hauts sommets de l'Himalaya ou encore les steppes arides de Mongolie. Par ailleurs, nous avons pu également examiner le regard que portent les différents protagonistes sur les espaces qu'ils traversent, ainsi que leur ressenti. [...]
[...] Tous nos protagonistes ont tous leurs visages rouges, brûlés par le soleil et Zoran n'hésite pas à s'attaquer à un serpent venimeux pour se nourrir. De plus, Smith, vaincu psychologiquement et physiquement par le désert, demande à Janusz de l'abandonner, mais ce dernier refuse, souhaitant que tous les survivants continuent. Par ailleurs, ils arrivent au pied de Hauts sommets de l'Himalaya qui en imposent en taille face au désert de sable plat. On y voit alors un changement radical de paysage avec le retour de la neige et de points d'eau comme des rivières. [...]
[...] Les protagonistes décident donc de traverser cet espace la nuit pour éviter les gardes et ils arrivent le lendemain à la frontière mongole. C'est à ce moment-là que Valka décident de ne pas traverser la frontière et se sépare du groupe, ne voulant pas quitter sa terre natale , ce qui montre une peur de l'inconnu de ce dernier, mais également un enracinement profond à la terre soviétique. Le désert et les difficultés Ensuite, ils arrivent sur des plateaux dominés par des steppes arides composés de rocailles, qui semblent ne comporter peu de ressources nécessaires à la survie. [...]
[...] Ensuite, on change de paysage avec un espace plus rocailleux et plus accidenté. On observe ainsi que nos personnages essaient de survivre du mieux qu'ils peuvent, se nourrissant d'insectes, d'œufs d'oiseaux ou de carcasses d'animaux laissées par les loups. Puis, au bout de 46 minutes, nous avons une vue d'ensemble sur un espace montagneux composés à la fois de pelouses et de résineux (pins, hêtres, sapins). Épuisés et affamée, nos protagonistes s'installent dans une sorte de gorge et Janusz décident de partir seul à la recherche du lac. [...]
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