Ce film a pour cadre une entreprise où 3 protagonistes se rencontrent. François Quéroles, PDG de l'entreprise, possède à première vue un fort pouvoir de décision, ainsi qu'un ordre de priorité très stricte. En effet, il remet à plus tard les questions syndicales, au profit d'une affaire commerciale pour son entreprise. Henry Morrison, homme d'affaire américain, est un homme influent qui semble dès le début du film très entreprenant (dialogue avec l'hôtesse dans l'avion). Et enfin, la secrétaire de l'entreprise, une femme séduisante et déterminée (elle refuse les premières avances du client américain dans l'ascenseur).
[...] Les intentions des protagonistes révèlent qu'ils sont prêts à mélanger vie privée et vie professionnelle. Le chantage en entreprise A partir du moment où M. Quéroles précise à la réceptionniste que M. Morrison dine avec eux, une relation de chantage s'instaure. En effet, l'homme veut la signature du contrat mais la jeune femme est bien décidée à ne pas se laisser faire. En effet, elle exigera de nombreuses choses à M. Morrison pour qu'elle accepte de faire ce qu'il demande. [...]
[...] Cacher la vérité est-ce mentir ? Le patron de l'entreprise se trouve alors dans une position délicate, il doit annoncer à la réceptionniste qu'elle est invitée à diner par l'homme d'affaires américain. On se demande alors si M. Quéroles préférera suivre ses propres valeurs morales ou assurer l'avenir de son entreprise. C'est donc pour cette raison que l'homme invite la réceptionniste à un simple tête-à-tête sans préciser la présence de M. Morrison. Ainsi, elle ne soupçonne rien et Quéroles a l'illusion de respecter ses valeurs et de ne pas mettre en péril son entreprise. [...]
[...] En effet, il sait que la signature de ce contrat lui évitera le dépôt de bilan, c'est pourquoi il cède aux demandes de la réceptionniste. Or dans un cadre strictement professionnel, il ne devrait y avoir aucune place au chantage. En tant que décideur, M. Quéroles devrait se dire que la décision qu'il a prise est la meilleure. Or dans le film, M. Quéroles montre des signes d'hésitation, de doutes. Il n'est pas sur d'avoir fait le bon choix. C'est lorsqu'il montre ses faiblesses, que la réceptionniste en profite. [...]
[...] Analyse du film Les séducteurs Ce film a pour cadre une entreprise où 3 protagonistes se rencontrent. François Quéroles, PDG de l'entreprise, possède à première vue un fort pouvoir de décision, ainsi qu'un ordre de priorité très stricte. En effet, il remet à plus tard les questions syndicales, au profit d'une affaire commerciale pour son entreprise. Henry Morrison, homme d'affaire américain, est un homme influent qui semble dès le début du film très entreprenant (dialogue avec l'hôtesse dans l'avion). Et enfin, la secrétaire de l'entreprise, une femme séduisante et déterminée (elle refuse les premières avances du client américain dans l'ascenseur). [...]
[...] Il est dans une optique strictement professionnelle. Mais d'un point de vue extérieur (sa femme ou sa belle-mère) la question se pose tout autrement. Du point de vue de la réceptionniste, on peut ressentir une certaine gène lorsqu'il lui propose de porter les vêtements de sa femme. Ces vêtements font partie de la vie privée du couple, ils ont une symbolique personnelle, intime. Mais elle choisira tout de même de porter ses vêtements pour ne pas mettre en péril M. [...]
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