Etude de cas : Studio Magazine

Résumé du document

Le 7ème art est, depuis plus d'un siècle, le premier loisir des français. Après la seconde guerre mondiale, un nouveau cinéma de masse qui avait pour prétention d'attirer tous les membres de la famille ; le rendant ainsi plus populaire. De plus, durant les années soixante-dix, l'arrivée du cinéma américain de la nouvelle vague (Coppola, Scorsese, Spielberg…) multiplie les sorties de films. Ainsi, le consommateur est noyé devant un tel choix de films et se met donc en quête d'informations supplémentaires.

Pour répondre à ces besoins, Marc ESPOSITO et Pierre Fraimbois créaient, en 1977, PREMIERE qui devient le premier magazine de cinéma grand public ; certains des numéros étant même tirés à plus de 700 000 exemplaires. Cette naissance correspond avec celle d'un nouveau public de cinéma, les « teenagers » dont le pouvoir d'achat accorde désormais une large place aux loisirs et en particulier au cinéma...

Extraits

[...] L'un des désaccord actuel s'avère être la cible de clientèle. En effet, comme nous l'avons vu précédemment, ce sont les adolescents qui possèdent le plus grand pouvoir d'achat, c'est pourquoi EMAP veut aujourd'hui cibler ce profil de consommateurs. Hors, la rédaction de Studio ne veut absolument pas changer leur manière de pensée, la forme de leur article, etc Le problème est que Emap a lancé un ultimatum à la rédaction de Studio : soit ils vendant leur part à Emap, soit Emap revend ses parts. [...]

[...] En 2002, Studio a fêté ses 15 ans, et l'année prochaine paraîtra le 200ème numéro. Le marché de la presse cinématographique Un cinéma en pleine expansion Le 7ème art est, depuis plus d'un siècle, le premier loisir des français. Après la seconde guerre mondiale, un nouveau cinéma de masse qui avait pour prétention d'attirer tous les membres de la famille ; le rendant ainsi plus populaire. De plus, durant les années soixante-dix, l'arrivée du cinéma américain de la nouvelle vague (Coppola, Scorsese, Spielberg ) multiplie les sorties de films. [...]

[...] Emap veut être actionnaire à 100% de Studio pour pouvoir faire les stratégies marketing qu'il veut. Si Emap devient actionnaire à 100%, le magazine pourrait complètement changer car toute la rédaction démissionnerait. D'après le directeur marketing de Studio, Alexandre Balleyguier, le magazine ne se permettre d'établir des plans marketing à long terme comme par exemple l'association du DVD au magazine. Malgré cette faiblesse managériale, une compétence clé apparaît clairement au sein de Studio magazine : une équipe de la rédaction soudée. [...]

[...] La différence de prix est moindre. Fabriquer Studio revient à un coût entre 1.20 et 1.50 Studio et l'étranger La distribution du journal concerne d'autre pays que la France, à savoir essentiellement les pays francophones tels que la Belgique, la Suisse, le Québec et quelques pays européens tels que l'Espagne ou l'Angleterre, mais très peu en Afrique du nord ou en Afrique Noire où le système de diffusion est plus long et plus compliqué. L'export, dans sa globalité représente environ à numéros par mois. [...]

[...] Déléguer aussi les frais de fonctionnement à la secrétaire générale. Néanmoins chacun d'entre eux connaît les limites à ne pas dépasser. De plus, il règne un climat de confiance dans la mesure où les collaborateurs se connaissent de longue date. Impulser les réunions de rédaction qui ont lieu, en temps normal deux fois par semaine : le lundi, et le jeudi. Elles se font minimum avec les 2 rédacteurs en chef, sinon avec toute l'équipe. Le but est de rendre chaque numéro, à la fois attractif et original par rapport aux autres journaux. [...]