Publi-postage, technique AIDA, informations individualisées, mailing, fichier clients, publipostage électronique, ciblage
Si la publicité médias correspond à un ciblage de masse (on ne dispose a priori pas d'informations individualisées sur les destinataires du message), le publipostage ou mailing, à l'inverse, nécessite de disposer de l'adresse des personnes visées, qu'il s'agisse de particuliers ou de professionnels. Il faut donc soit posséder un fichier clients à jour soit d'un fichier acheté, loué ou échangé, dans le respect de la loi bien entendu. Même chose dans le cas du publipostage électronique ou e-mailing. En bref, le publipostage est adapté à un ciblage individualisé, et il correspond le plus souvent (mais pas exclusivement) à des objectifs conatifs.
[...] L'accroche peut mêler image et texte, favorisant ainsi la lecture (l'alliage image + texte augmente en général l'attractivité visuelle). Eveiller l'intérêt : Règle des 3 VOUS : commencer par un paragraphe ou quelques lignes portant sur les attentes, préoccupations ou questionnements probables des cibles visées ; Susciter le désir : Structurer un argumentaire efficace qui développe les principaux avantages pour le destinataire dans l'achat (la distribution ) de nos produits ou services. Un argumentaire efficace suppose de présenter trois éléments pour chaque argument : une caractéristique, un avantage, une preuve. [...]
[...] REALISER UNPUBLIPOSTAGE Quand utiliser le publipostage ? Si la publicité médias correspond à un ciblage de masse (on ne disposea prioripas d'informations individualisées sur les destinataires du message), le publipostage ou mailing, à l'inverse, nécessite de disposer de l'adresse des personnes visées, qu'il s'agisse de particuliers ou de professionnels. Il faut donc soit posséder un fichier clients à jour soit d'un fichier acheté, loué ou échangé, dans le respect de la loi bien entendu. Même chose dans le cas du publipostage électronique ou e-mailing. [...]
[...] Faire passer à l'action : Puisque l'objectif du publipostage est en général cognitif, il est nécessaire de verrouiller le message. A la fin du texte (souvent dans un post-scriptum, lu dans un deuxième temps, après le titre ou accroche), on va parfois rappeler l'offre principale et presque toujours situer un accélérateur (voir plus haut). Quelques conseils de mise en forme : La lettre d'accompagnement est lue en trois temps. On parle des trois niveaux de lecture : - vision globale, titre ou accroche ; - images, intertitres, caractères gras ou remarquables ; - texte. [...]
[...] Un « P.S. » est souvent utile pour spécifier ou rappeler des points essentiels. Enfin, une signature complète comprend : - le paraphe (authentique ou imprimé) ; - le prénom + le nom du signataire ; - sa fonction, son titre ou le service auquel il ou elle appartient. [...]
[...] Le regard glisse du haut de la lettre à gauche vers le bas à droite dans une sorte de « balayage ». Il est donc nécessaire, pour ne pas « perdre » le lecteur sur un paragraphe de moindre intérêt, de ramener son regard à gauche sur les points clefs qu'il ne doit pas rater. On va donc alourdir la gauche de la lettre avec par exemple : - des mentions en marge ; - des intertitres ou les premières phrases des paragraphes en gras ; - l'utilisation de « puces » ; - de la couleur ; - des encadrés ou des à-plats ; - etc. [...]
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