Journaux, télévisions, radio… impossible aujourd'hui de se déconnecter !
Véritable vecteur informatif, les médias témoignent de la liberté d'expression issue de la Déclaration des Droits de l'Homme en date de 1789 ainsi que du droit à l'information nécessaire au fonctionnement de toute société moderne civilisée. Du fait des incessantes mutations affectant la société en matière de Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication (NTIC), la société tend de nos jours à être qualifiée de « Société de l'Information et des Connaissances ».
La société contemporaine en ce début du XXI° siècle a été affectée par des vagues d'innovations technologiques contribuant de ce fait à l'essor du système économique et social car les connaissances et les savoirs sont les instruments du développement.
La communication institutionnelle située en amont constitue une source d'inspiration des médias d'information en tant qu'organe de diffusion. Ces derniers ont connu une incontestable modernisation, corollaire aux avancées technologiques en matière de communication.
Le paysage médiatique antérieurement cantonné à des modes de transmission classiques ( presse, télévision, radio ) connaît de nos jours une diversité des moyens de diffusion.
En perpétuelle évolution, la « Société d'Information » transmet toutes les connaissances nécessaires aux agents pour satisfaire leur désir de compréhension via un réseau de communication assez riche (de nos jours, convergence des médias, des télécommunications ainsi que de l'informatique).
[...] De ce fait, les agents guident leurs décisions en fonction de ces informations conjoncturelles. Les informations nécessaires au fonctionnement de ce marché sont transmises au moyen des prix relatifs étant le résultat des comportements individuels. Véritable lien de communication, les prix véhiculent et rendent compréhensible le savoir très dispersé dans cette économie concurrentielle. La concurrence semble donc être un processus d'adaptation, découverte et de sélection. A l'aide de messages, les agents expriment leur volonté d'acheter ou de vendre telle quantité de biens pour tel prix. [...]
[...] Leurs choix seront donc influencés par l'information détenue mais aucune information explicite ne sera échangée au cours du mécanisme de marché. C'est pourquoi l'information n'est qu'un paramètre décisionnel permettant à l'agent d'effectuer un choix optimal. Sur le marché, se pose un problème concernant l'allocation des ressources affectées par la répartition d'informations entre les agents puisque le marché permet une certaine coordination des décisions individuelles des agents. Prendre une décision rationnelle suppose pouvoir analyser tous les choix possibles et par-là opter pour le choix optimal, en fonction des informations pertinentes. [...]
[...] Pourquoi le terme d'anticipations rationnelles ? Tout simplement parce qu'elles sont formées grâce à l'information disponible. Ce qui explique leur cohérence puisque c'est l'information qui guide leur orientation. Cette théorie donne une excellente approche de l'indétermination de l'avenir rendue possible grâce à la diffusion de données en affluence par les médias afin d'enrichir la culture économique de l'agent. C. L'action comportementale des individus en science économique Comprendre la logique comportementale qui anime les individus, c'est réfléchir sur le processus de décision orientant ainsi les actions des agents. [...]
[...] La théorie des anticipations rationnelles met en lumière le rôle de l'information qui constitue un préalable incontestable à la prise de décisions des individus. Cette hypothèse selon laquelle les agents utiliseraient les données informationnelles est centrale dans cette théorie puisque de la possession de cette information découle donc normalement un choix rationnel. En guise d'illustration prenons le cas où un individu souhaite effectuer un placement en Bourse et analysons de l'amont en aval le processus décisionnel : l'agent a un désir de faire une action (ici, effectuer un placement financier). [...]
[...] L'agir humain a pour origine la recherche de la satisfaction des besoins ressentis. C'est pourquoi l'état d'insatisfaction est considéré par les économistes comme facteur explicatif de l'action des agents. Ce critère d'évaluation des besoins est subjectif, c'est-à-dire propre à chaque individu selon la perception personnelle de son sentiment d'insatisfaction ; cependant le sociologue Maslow a établi une pyramide des besoins à cause de leur caractère universel. Voici la présentation de cette hiérarchie classée de manière croissante : - besoins de survie, - besoins d'identification, - besoins de reconnaissance, - besoins d'affection, - besoins de connaissance, - besoins de création, - besoins de spiritualité L'action humaine fondatrice de la raison, essence de l'Homme Dans la théorie de l'agir humain, intervient le postulat de rationalité qui est une condition inhérente à l'action puisque l'individu l'a intentionnellement espérée et réfléchie. [...]
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