De nos jours, la consommation est une valeur qui semble primée sur les valeurs traditionnelles d'autrefois. Évidemment, quand il est question de consommation, la publicité est généralement présente. Des portes de toilettes jusqu'aux écriteaux sur les autobus en passant par la télévision, la radio et Internet, la publicité est maintenant un élément omniprésent dans la société. L'importance de celle-ci ne cesse de croître dans la société dite moderne et elle est devenue une puissante force de persuasion qui façonne les attitudes et les comportements dans le monde d'aujourd'hui. Nous sommes cependant en droit de nous interroger pour savoir si la publicité est un bon facteur de moralisation de la société. Il me semble impossible de répondre oui à cette interrogation, et ce pour diverses raisons que je décrirai dans cette dissertation comme l'instantanéité du message, les valeurs véhiculées par celles-ci et le gaspillage de fonds publics. (...)
[...] Bref, les compagnies et le gouvernement ne font pas ce qui est le mieux pour nous et nous laisse croire le contraire donc elles nous mentent ce qui n'est vraisemblablement pas un bon facteur moralisateur. Pour conclure, il est indiscutable que la publicité n'est pas un bon facteur moralisateur, puisqu'elle est trop courte, mensongère, qu'elle véhicule des valeurs immorales et qu'elle consiste en un gaspillage de fonds publics. Bien évidemment, la publicité est un élément important de la société, seulement nous devons apprendre à reconnaître celle qui désire vraiment nous informer de façon véritable et morale et celle qui tente de nous persuader dans un but purement mercantile. [...]
[...] Tout d'abord, la publicité ne peut absolument pas être un bon facteur de moralisation parce que l'information que l'on tente de véhiculer est beaucoup trop courte. Les gens ont besoin d'un certain temps pour assimiler un message et l'instantanéité de la publicité ne le permet pas. Ensuite, les valeurs que contiennent les publicités sont souvent mensongères ou carrément immorales. On tente souvent de faire croire aux gens qu'ils ont des besoins matériels très grands alors qu'ils n'en ont pas réellement. [...]
[...] Souvent elle fait délibérément appel à des motivations telles que l'envie, l'arrivisme, la gourmandise, l'égoïsme, la convoitise, la rapacité, etc. Aujourd'hui, certains publicitaires cherchent aussi à choquer et à troubler les personnes en utilisant des thèmes de nature morbide, perverse ou pornographique, ce qui n'est indéniablement pas un bon facteur moralisateur. Pour terminer, la publicité est souvent corrompue et constitue un gaspillage de l'argent public, par exemple, les publicités des campagnes électorales et les grosses compagnies corporatives. Bien souvent, les grosses compagnies qui ont des monopoles ont des tarifs exorbitants et passent énormément de publicités. [...]
[...] Travail de philosophie La publicité peut-elle être considérée comme un bon facteur de ‘‘moralisation'' de la société? De nos jours, la consommation est une valeur qui semble primée sur les valeurs traditionnelles d'autrefois. Évidemment, quand il est question de consommation, la publicité est généralement présente. Des portes de toilettes jusqu'aux écriteaux sur les autobus en passant par la télévision, la radio et Internet, la publicité est maintenant un élément omniprésent dans la société. L'importance de celle-ci ne cesse de croître dans la société dite moderne et elle est devenue une puissante force de persuasion qui façonne les attitudes et les comportements dans le monde d'aujourd'hui. [...]
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