[...] Une fois que l'on a déterminé la taille de sa page. Il faut savoir comment on va disposer le texte. Pour des textes dans lesquelles une information (dans tous les sens du terme) doit être donnée, on adoptera une présentation en colonnes.
Suivant la taille de la page, le nombre de colonnes variera, et ce dans un souci de clarté de lecture.
Si l'on s'en tient au format A4, la présentation pourra osciller entre 2 et 3 colonnes (3 est préférable). Pour le tabloïd, je déconseillerai plus de 6 colonnes.
Personnellement, et même si c'est le cas dans ce texte, j'éviterai le « 1 colonne ». Pourquoi ? Tout simplement à cause de l'oeil. Il a tendance à passer d'une ligne à l'autre, à se perdre en cours de lecture. L'attention du lecteur n'est pas bonne ce qui peut altérer le degré de
compréhension du texte.
Dans tous les cas, le « 1 colonne » ne devra pas être utilisé pour des documents imprimés ou édités sur un format supérieur au A4.
[...] Lorsqu'elle accompagne un texte et a fortiori lorsqu'elle est toute seule, la photo doit, si possible se suffire à elle-même. Je le répète, elle ne doit pas boucher un trou mais éclairer le lecteur. Elle peut même apporter une information supplémentaire à l'article.
Lors de la lecture d'un document, il faut connaître le parcours de l'oeil du lecteur. Le premier point qu'il verra sera le titre du document. Ensuite, son oeil a de fortes chances de s'orienter vers la photo. De là, on s'aperçoit de la nécessité d'interpeller le lecteur avec l'image. Si l'esprit n'est pas captivé ou attiré par la photo, le lecteur risque de ne pas parcourir le texte.
L'emplacement de la photo au sein du texte ne doit pas être laissé au hasard. Une photo placée en haut des colonnes et centrée sera forcément vue. Une petite photo en bas de page ne le sera pas forcément (...)
[...] De même que l'on ne mettra pas une publicité de trois colonnes sur une pub de deux colonnes on ne fera pas l'inverse. Et on évite ainsi le principe d'escalier (voir ci-dessous). On évitera ce que l'on appelle les escaliers Exemple d'escalier sur une page. Et après l'imposition Le terme et après n'est peut-être pas le mieux adapté dans cette partie. Et avant aurait été préférable. Car si l'on a fait le tour de la page, nous n'avons pas parlé de l'imposition. [...]
[...] Comme tout élément crucial, il convient de le mettre en valeur. Pour ce faire, plusieurs outils sont à votre disposition. La police de caractère En typographie, ce que l'on appelle police de caractère (font en anglais) est le jeu de caractères que vous allez utiliser pour composer votre texte. Il en existe des centaines parfois pas très différentes les unes des autres. Elles se déclinent souvent en plusieurs catégories : - Normal - Gras - Italique - Gras/italique Pour composer un texte classique, il sera préférable d'utiliser une police classique, du type Times New Roman Arial New Aster Swiss Certaines polices offriront un enchaînement des lettres plus arrondi, d'autres formeront des lettres plus carrées À chacun de voir ce qui lui convient. [...]
[...] Bon nombre relèvent plus de l'esthétisme et de la tradition. Mais, si l'on peut éviter de les faire, ce n'est pas plus mal. - Un intertitre ne se trouvera jamais en bas sur la dernière ligne d'une page ou d'une colonne. - On fera particulièrement attention aux lignes veuves et aux lignes orphelines Plus simplement, la dernière ligne d'un paragraphe ne se trouvera pas sur la première ligne d'une page ou d'une colonne (veuve). Et la première ligne d'un paragraphe ne se trouvera pas sur la dernière ligne d'une page ou d'une colonne (orpheline). [...]
[...] Tout simplement à cause de l'œil. Il a tendance à passer d'une ligne à l'autre, à se perdre en cours de lecture. L'attention du lecteur n'est pas bonne ce qui peut altérer le degré de compréhension du texte. Dans tous les cas, le 1 colonne ne devra pas être utilisé pour des documents imprimés ou édités sur un format supérieur au A4. Les repères de page Lorsque l'on a déterminé le nombre de colonnes dans sa page, un petit calcul sera nécessaire. [...]
[...] C'est-à-dire les limites de la zone imprimable de votre page. Exemple : Imaginons une page de taille : 280 mm de large sur 420 mm de hauteur. Les repères de marges seront de : 245 mm de large sur 380 mm de hauteur Cette page est formatée pour recevoir 5 colonnes. Donc chaque colonne fera 45 mm de large : 45 x 5 = 225 mm Chaque gouttière fera 5 mm de large : 5 x 4 = 20 mm Total : 245 mm. [...]
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