Pouvoir, Communication et Médias

Résumé du document

Mise en avant du pouvoir de la communication et des médias : les discours persuasifs, les discours politiques. Rapprochement également entre le pouvoir de persuasion et les médias. Evocation du pouvoir de psychologie sociale. Qu'est-ce que le pouvoir ? Définition du concept de pouvoir selon différents auteurs.

Extraits

[...] León, J. M. y Fernández, Y. (1995). Investigación psicosocial. Sevilla: Servicio de Publicaciones de la Universidad de Sevilla. Moscovici, S. (1984, 1990). Psychologie sociale. [...]

[...] Ensuite, elles résultent de ce que Piaget a appelé la pensée syncrétique (Gleize en Charoles et al pag. 12). A notre sujet, il est important de souligner que ces préconstruits, dans n'importe quelle situation, apparaissent tout à la fois maléables et dotés de facettes. “Maléables en ce sens que l'énonciateur peut les faire entrer dans son projet, même s'il est unique, et ils sont à facettes puisque, le même objet peut être consideré d'un point de vue ou d'un autre: cela dépend du champ cognitif dans lequel ils sont placés.” (Ibidem, pag. [...]

[...] Bien qu'il ne soit pas très urgent de trouver ici une définition acceptable de la communication et quelles sont les plus classiques approches historiques, nous considérons important de reprendre certaines idées qui sont déjà apparues dans notre dissertation d'une façon plus ou moins explicite. ( Le pouvoir, grosso modo, est la capacité d'un ou plusiers individus à excercer une influence sur un autre individu ou groupe. Ici nous pouvons déduire que le pouvoir, comme le leadership, ne peut exister que dans une relation entre personnes, groupes, départements, organisations ou secteurs sociaux. [...]

[...] Le pouvoir du leader: la moyenne avec laquelle il a l'autorité pour évaluer l'occupation de ses subordonnés et pour administrer récompenses et punitions. La relation entre le leader et les membres: grade où le leader a l'appui et la loyauté de les subordonnés, avec des rélations amicales et de coopération. Ensuite, quand ses trois dimensions sont combinées, nous trouvons huit situations possibles appellées octantes, et qui signalent le grade d'influence et de contrôle requis par la situation. La plus favorable sera celle qui se caractérise par une haute structuration de la tâche, haute capacité de pouvoir de celui qui exerce le leaderchip et relations positives entre le leader et les membres (Fiedler dans Peiró, 1991). [...]

[...] Historiquement, ce sujet a été une (dominio) exclusif chez le linguistics. Cependant, et comme ont dit Charole, Fisher et Jayez (1990), concepteurs de modèles ne ignorer le fait que le discours, ne relevant pas seulement de la langue mais aussi de son usage, se trouve nécessairement soumis à des déterminations de carectère psychologique et social dont l'intégration, on s'en doute, est, elle aussi, source de difficultés. Le travail de Tajfel et ses colleges de Bristol sur le conflit inter- groupes, et la recherche sur l'influence des minorités de Moscovici et son groupe de Paris, eurent aussi à cette époque un impact immédiat dans un champ traditionellement dominé par les approches positivistes de méthodologie nomotétique et experimentales, en stimulant une grande quantité de recherches des deux côtés de l'Atlantique. [...]