Le droit à l'information permet à tout journaliste d'acquérir le droit d'image sur les personnes qui sont au cœur d'une actualité. Il y a donc un motif d'information et de plus ça se passe dans un lieu public. Par ailleurs, il n'y a pas d'atteinte à la dignité de la personne. Il n'est donc pas nécessaire dans ce cas d'obtenir les accords des individus sur la photo. Par conséquent, elle est en accord avec la législation sur le droit à l'image. Aucune précaution n'a été prise. Cependant, les gens sont en mouvement et donc l'image est floue sur les manifestants. Ainsi, ils ne sont guère reconnaissables.
La photo permet d'illustrer la situation au Honduras. On remarque ainsi avec cet angle de vue l'importance du conflit. Le photographe prend ainsi du recul pour ne pas se retrouver au milieu. Cette photo nous donne un aspect pédagogique. On voit la colère des manifestants, des débris partout et les forces de l'ordre qui encaissent. Cela déclenche alors un sentiment de compréhension lorsqu'on sait que le pays a connu une dictature militaire et qu'elle est désormais en démocratie. La population montre leur protestation contre le coup d'état militaire.
Au vu de la légitimité de la photo, la photo a un intérêt général et ainsi un contexte et une finalité. Au vu de la justice, cette photo est légale. La photo n'est pas abusive, mais un peu choquante, car on voit une dizaine de manifestants contre un peloton de force de l'ordre. On ne voit pas tous les manifestants face à la police.
[...] La photo ci-dessus n'est pas une photo autorisée par la personne qui y figure. Cependant, l'image est en règle avec la législation du droit à l'image mais on peut mettre des doutes sur la vie privée. Le journal est assez généraliste et pour le grand public. Cette image répond à une curiosité des lecteurs de suivre la vie d'Eva Longoria. Elle donne un aspect voyeur. Elle peut déclencher une envie envers cette dernière qui a un budget pour faire du shopping dans une rue célèbre de Los Angeles. [...]
[...] Je ne trouve pas la photo abusive ni choquante. Il s'agit en quelque sorte du quotient là-bas. Nous sommes dans un aéroport, il s'agit donc d'un lieu public. L'image est en accord avec la législation. Aucune précaution n'est prise et les personnes n'ont pas donné leur accord. La pertinence de cette image permet de montrer la réalité de la situation des familles après le crash de l'avion. On a un aspect pédagogique et voyeur car on peut voir l'émotion de ces familles. [...]
[...] La population montre leur protestation contre le coup d'État militaire. Au vu de la légitimité de la photo, la photo a un intérêt général et ainsi un contexte et une finalité poursuivie. Au vu de la justice, cette photo est légale. La photo n'est pas abusive mais un peu choquante car on voit une dizaine de manifestants contre un peloton de force de l'ordre. On ne voit pas toutes les manifestants face à la police. Cette image est en accord avec la législation. [...]
[...] Pour les lecteurs auquel s'adresse le journal, elle répond à une demande. Cette image a un aspect voyeur car elle est prise de loin et discrètement. Aucun but légitime si ce n'est suivre la vie de Will Smith. Et on a l'impression de devenir des voyeurs. Sur cette image aucune précaution n'est prise. On est en présence d'hommes politiques important qui sont donc des personnes publiques et d'une jeune femme de dos. On n'a pas besoin d'obtenir l'accord des personnes qui figurent sur la photo. [...]
[...] Déontologie et éthique du métier de photographe de presse - le droit à l'image Clichés de faits divers et catastrophes naturelles Le droit à l'information permet à tout journaliste d'acquérir le droit d'image sur les personnes qui sont au cœur d'une actualité. Il y a donc un motif d'information et de plus ça se passe dans un lieu public. Par ailleurs, il n'y a pas d'atteinte à la dignité de la personne. Il n'est donc pas nécessaire dans ce cas d'obtenir les accords des individus sur la photo. [...]
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