Théorie de l'information-communication, productivité, information publique, Shanon et Wiever, Haberman, école de Francfort, structuralisme, cercles de socialisation, communication médiatisée
Il faut faire un travail nécessaire de dissociation des deux termes. Au sens commun, l'information fournit la matière première à la communication, ce qui signifie que la communication serait la mise en relation des informations. L'information sert à être informé concernant l'actualité. Donc l'information n'est pas seulement la matière première de la communication, car elle renvoie à la fois aux médias, aux systèmes d'information et à l'information publique.
[...] • Communication > mise en relation de toutes ces notions → Nécessite des acteurs, des supports, des objec&fs dans ces mise en rela&on. L'information recouvre donc plusieurs secteurs. • Sciences de l'Information-Communication > regroupement de chercheurs, dont R. Barthes et B. Miege. Elles sont reconnues officiellement en 1972. En 1978 apparaît une société savante : La Société Française des SIC qui anime la vie scientifique. • 5 principaux domaines autour des SIC – un domaine de recherche autour des relations entre Information et Communication – production et usages de l'Info-Com (médiatisation, réception . [...]
[...] • Elle provoque un accroissement de l'information non produite non professionnelle). • La multiplication de l'offre d'information éphémère ou unique (car les produits d'information sont également victimes de « l'obsolescence programmée », c'est-àdire, pousser l'usager à la mise à jour de l'information). • L'ouverture aux nouveaux professionnels, voire aux amateurs (ex. blogs perso' qui deviennent importants). • Une croissance rapide des informations issues de la sphère privée et professionnelle. • La modification des frontières entre sphère publique, sphère privée et sphère professionnelles. [...]
[...] CCL : • Dans cette deuxième phase, les chercheurs se détache de Shanon et Wiever. • Ce qui intéresse c'est le contexte de communica&on, la situa&on dans sa globalité → Intègre désormais une approche économique. → Les théories ne sont pas à envisager comme détachées des sociétés mais elles les traduisent. [...]
[...] → Elles sont successivement marquées par l'électronique, l'informa&sa&on, l'automa&sa&on et la numérisation. Le volume d'informations n'a jamais été aussi rapide et grand donc on demande plus de production. • Du coté des producteurs de l'information et de la culture, la vitesse de diffusion a changé et doncégalement la structuration économique, les marchés sont dominés par de grands groupes internationaux. → Tous ces produits doivent automa&quement passer par les réseaux de l'informa&oncommunication. Ceci remet en cause des pratiques qui deviennent peu déontologiques. [...]
[...] Également grâce à la pensée critique : travail sur la société industrielle et la place de l'art dans la société capitaliste à l'école de Francfort autour des travaux de T. Adorno et J. Haberman. → Elle renvoie à toutes les posi&ons qui cherchent à analyser les effets de la culture de masse et de l'information marchande (ex. anarchistes, marxistes . → Elle existe toujours chez certains universitaires des SIC. Les années 60 représentent un tournant pour la pensée communicationnelle car elle se diversifie et gagne en consistance. Fondamentalement, c'est la création d'un modèle (la cybernétique), d'une approche (l'empiricofonctionalisme) tournée autour de l'objectif de l'influence et d'une méthode (le structuralisme). [...]
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