Crédibilité des journalistes, enjeux politiques des médias, opinion publique, comportement du public, médias contre la culture
Loi du 28 juillet 1982 : droits et devoirs des journalistes + liberté d'expression. Code du travail donne définition en 1935 d'un journaliste, mais reste flou. Ce métier ne nécessite pas une formation, un diplôme particulier. Compliqué d'obtenir la carte professionnelle de journaliste, pas indispensable, mais prouve qu'on est journaliste, symbolique, donne accès à certains événements. Un journaliste ne peut pas travailler pour un politique.
En France beaucoup sont pigistes c'est-à-dire qu'ils n'ont pas de réel contrat de travail, pas de revenu fixe. Il est indépendant et collabore avec plusieurs médias. Situation très précaire, ce sont souvent les jeunes. Les places aujourd'hui de journaliste deviennent de plus en plus rares.
Seule profession où on peut rompre son contrat de travail pour « clause de conscience » et avoir des indemnités importantes.
[...] Il y a plusieurs façons de procéder. Tout d'abord la mesure d'audience mais alors on ne sait pas ce que les gens font dans le détail. Pour répondre précisément, il faut des études très fines et très détaillées. Il faut aller sur le terrain. Il faut travailler sur le public des médias : téléspectateurs ont conscience de former un public. Sorte de communauté imaginée dont nous avons conscience d'en faire partie sans que cette communauté soit visible. L'essor de nouvelles technologies numériques donc pas de public au singulier. [...]
[...] quelles infos fiables Manque de recul des journalistes Information mal vérifiée, rumeurs non fondées à désinformation Défi économique : Logique de rentabilité, de maximisation du profit (pression des actionnaires) Poids des pressions des annonceurs Défi politique : Le monde politique a la main mise sur les médias : sorte d'illusion Relations qui dépendent du secteur d'activité (audiovisuel, télévision) Système ou les journalistes constituent un contre-pouvoir (rivaux) mais lien et intérêts communs entre monde politique et monde journalistique (alliés) à ce sont des associés rivaux le pouvoir politique, même si il continue à faire pression, ne peut pas tt se permettre détachement progressif entre la classe politique et les journalistes en France . Les enjeux politiques des médias . ( Une nouvelle communication politique. On ne peut pas réduire la politique à la communication. [...]
[...] Compréhension accrue de la politique. Tous le monde a entendu parlé des problèmes liés au chômage par exemple car hommes politiques ne cessent de s'affronter sur ces questions. Médias focalisent l'attention sur la rivalité entre les candidats. On interpelle de plus en plus les hommes politiques par de nouveaux supports de communication. On a de plus en plus le droit à la parole. Ceux qui interviennent dans les médias sont souvent des gens diplômés. Les médias sont devenus un instrument d'alerte politique, de vigilance citoyenne. [...]
[...] La crédibilité des journalistes ( Statut juridique et identité professionnelle. Loi du 28 juillet 1982 : droits et devoirs des journalistes + liberté d'expression. Code du travail donne définition en 1935 d'un journaliste, mais reste flou. Ce métier ne nécessite pas une formation, un diplôme particulier. Compliqué d'obtenir la carte professionnelle de journaliste, pas indispensable, mais prouve qu'on est journaliste, symbolique, donne accès à certains événements. Un journaliste ne peut pas travailler pour un politique. En France beaucoup sont pigistes c'est-à-dire qu'ils n'ont pas de réel contrat de travail, pas de revenu fixe. [...]
[...] Les journalistes faisaient le médiateur. Aujourd'hui 5 acteurs : hommes politiques, journalistes, sondeurs, conseillers de communication et électeurs. - Hommes politiques : diffuse une image d'eux mêmes. Maitrise leur communication. Pas anecdotique. - Journalistes : interrogent les politiques. Beaucoup de poids, très écoutés, influents. - Sondeurs : interpréter l'évolution de la popularité des hommes politiques. Leurs publications donnent lieu à des réflexions et influent sur l'image que nous avons des candidats. - Les conseillers en communication : invisibles, inconnus. Conseillent les candidats. [...]
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