Le réalisme est une tendance apparue en peinture vers 1830. Elle s'intéresse directement à ce que les gens perçoivent : tout objet, être, chose ou action doit être rendu de manière véridique.
Jean François Millet, né le 04 Octobre 1814, mort le 20 Juillet 1875, est un peintre français. Fils de paysan, berger dans son enfance, il est envoyé à l'âge de vingt ans à Cherbourg pour apprendre la peinture auprès de peintres connus.
[...] Le réalisme Le réalisme est une tendance apparue en peinture vers 1830. Elle s'intéresse directement à se que les gens perçoivent : tout objet, être, chose ou action doit être rendu de manière véridique. Jean François Millet Jean François Millet, né le 04 Octobre 1814, mort le 20 Juillet 1875, est un peintre français. Fils de paysan, berger dans son enfance, il est envoyé à l'âge de vingt ans à Cherbourg pour apprendre la peinture auprès de peintres connus. Il est considéré comme un peintre réaliste. [...]
[...] Les couleurs dominantes, réalisées en aplat, sont le marron ; le vert et le jaune. Ces couleurs accentuent, par leur nuance et leur tonalité, un sentiment de recueillement et de tristesse. Cette peinture montre deux paysans qui, en plein travail, ont posé leurs outils pour se mettre en prière tandis que l'on devine l'angélus sonner au clocher lointain. Je pense que Millet a voulu attirer l'attention sur les modes de vie du monde rural de son enfance plutôt que montrer un aspect religieux(il n'est d'ailleurs pas pratiquant).Il se dégage de cette œuvre un profond recueillement probablement le seul échappatoire à la dure vie paysanne de cette époque. [...]
[...] Cette peinture présente un angle de vue normale. Les personnages du premier plan ont de grandes tailles mais la scène champêtre de moissons par sa taille moyenne ne parait pas très éloignée mais donne un aspect de profondeur au tableau. Les couleurs dominantes, réalisées en aplat, sont le jaune et le marron. La lumière éclaire le paysage et souligne l'atmosphère dure et chaude de la moisson. Ce tableau représente trois femmes, parmi les plus pauvres de la campagne, contraintes de glaner pour manger. [...]
[...] Il commence sa carrière de peintre en représentant de « paysages de mer » puis son intérêt se porte sur des portraits. Il se lie d'amitié avec des artistes comme Baudelaire, Berlioz, dont il fait les portraits. En 1849, il revient à Ornans, sa ville natale, où il est inspiré par son terroir et crée un style qu'il qualifie de réalisme. En 1852, il décide de se mettre à de grandes compositions de nus ce qui va choquer à l'époque (la belle irlandaise). Vers 1862, il peint des natures mortes. Il décide de s'exiler en suisse de 1873 à 1877. [...]
[...] Cette peinture présente un angle de vue normale. Les femmes du premier plan occupent une grande partie du tableau (environ la moitié) de sorte que les plans suivants donnent l'impression d'être très proches des personnages comme en communion. La couleur dominante, appliquée en aplat, est le vert. La lumière éclaire la femme du premier plan pour mieux souligner l'apaisement de celle-ci. Je pense que l'artiste a voulu évoquer l'union sensuelle de l'être et de la nature. Un enterrement à Ornans Cette œuvre gigantesque (hauteur : 315 cm ; longueur : 668 cm) dont le format est habituellement réservé au tableau d'histoire, s'intitule Un Enterrement à Ornans. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture