Il dût faire son service militaire en Algérie en 1860-61 mais il fut interrompu par une typhoïde qui le ramena en France où il recommença à travailler avec Boudin et Jongkind. Il va bientôt entreprendre des études plus sérieuses aux Beaux-Arts de Paris, où il va rencontrer beaucoup d'artistes, dont Renoir, Sisley et Bazille. Ils passèrent du temps à se chercher artistiquement, et trouvèrent l'inspiration notamment au Salon de Paris, réunion de toutes les grandes oeuvres artistiques (peintures). Ils cherchaient de nouveaux styles, de nouveaux thèmes picturaux (...)
[...] Il avait déjà eu l'occasion d'y séjourner en 1870 et c'est à ce moment-là qu'il avait remarqué ce paysage. Bateaux quittant le port, La Havre A la fin de sa vie Monet fut atteint d'une double cataracte, ce qui influença grandement son travail. Après une opération laborieuse, il renonça à se faire opérer de l'œil gauche. Il perdit progressivement la vue mais continua à peindre jusqu'à sa mort, le 5 décembre 1926 sur la côte normande, voulant passer ses derniers moments près de la mer et dans sa chère Normandie. [...]
[...] Elle lui avait donné un fils, Jean en 1867 et lui donna un autre fils, Michel en 1879. Elle mourut en 1879. Elle avait posé de nombreuses fois pour lui. Champ de coquelicots Durant la guerre Franco-Prussienne de 1870-71, Monet se réfugia à Londres, où il rencontra Paul Durand-Ruel, un marchand d'art qui l'aida à diffuser ses œuvres impressionnistes. Monet et ses amis formèrent un petit groupe et exposèrent dans leur propre salon suite aux hostilités de plus en plus grandes de la part des milieux officiels. [...]
[...] Il suivit ensuite des cours à l'académie suisse. La Plage de Sainte-Adresse Il dût faire son service militaire en Algérie en 1860-61 mais il fut interrompu par une typhoïde qui le ramena en France où il recommença à travailler avec Boudin et Jongkind. Il va bientôt entreprendre des études plus sérieuses aux Beaux-Arts de Paris, où il va rencontrer beaucoup d'artistes, dont Renoir, Sisley et Bazille. Ils passèrent du temps à se chercher artistiquement, et trouvèrent l'inspiration notamment au Salon de Paris, réunion de toutes les grandes œuvres artistiques (peintures). [...]
[...] Tout ceci amène la juxtaposition de taches de couleurs pures qui feront un mélange optique dans l'œil du spectateur. Femme à l'ombrelle Ce fut pendant ces années-là qu'il créa des chefs d'œuvres comme La Gare Saint Lazare, Rue Saint-Denis, mais ses toiles ne trouvaient que peu d'acquéreurs, et , extrêmement pauvre, il déménagea à Argenteuil (1873), Vétheuil (1879), Poissy (1882), Giverny en 1883. Les Rochers de Belle-Île A la fin des années 1880, ses œuvres commencèrent à attirer l'attention. Cette renommée le sortit enfin de la misère. [...]
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