Son travail de photographe part d'un constat simple : la tragédie vécue s'installe comme point de départ de la création d'une œuvre artistique. En photographiant sans relâche le monde qui l'entoure, Goldin cherche à inverser l'impact de cet évènement traumatique en capturant les souvenirs sous forme palpable, réelle, afin de créer une « seconde mémoire », comme elle aime l'appeler, une sorte de « mémoire volontaire ».
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