Sciences humaines et arts, Musée du Quai Branly, visite scolaire, histoire du musée, architecture du Quai Branly, Julien Bondaz, Jean Nouvelle, les devins guérisseurs, muséographie, art africain
La visite a été menée par un docteur en anthropologie, Julien Bondaz, qui est également maître de conférences au département d'anthropologie de l'université Lumière Lyon 2. Il mène depuis 2005 des enquêtes ethnographiques en Afrique de l'ouest, en anthropologie du patrimoine, de l'art et de la mise en image, et en anthropologie urbaine.
Le musée du Quai Branly a était conçue par Jean Nouvelle, un architecte renommé qui a pensé à l'ensemble de l'architecture y compris l'intérieur. Il a ouvert ses portes en 2006. Le musée était avant tout un projet présidentiel. En effet, c'est sous l'impulsion de l'ancien président de la République Jacques Chirac que ce musée a vu le jour, car ce dernier était attiré par les arts extra-occidentaux.
[...] Elle devait s'appeler a la base Musée d'Art Premier, mais suite a une polémique, elle a finalement était appeler Musée du Quai Branly. D'après Julien, sur les couloirs, on peut voir tout un travail d'imitation de la roche. De ce fait, selon lui, cela crée tout une ambiance, des tons, et des couleurs assez spécifiques au musée. Par ailleurs, c'est un musée qui a était reconnue comme une réussite architecturale mais c'est aussi un musée qui est avant tout un projet d'architecte du point de vue de la muséographie. [...]
[...] COMPTE RENDU DE LA VISITE DU MUSEE : Explication du plan : Dans un premier temps, je vais faire une petite introduction rapide sur l'intervenant puis dans un second temps, je parlerai de l'histoire du Musée Quai Branly tel qui nous a était expliquée. Enfin pour finir, je développerai le point sur le thème du devin guérisseur qu'on a pu aborder pendant la visite et qui ma plu et intéressée. Auteur : Docteur en Anthropologie, Julien Bondaz est également maitre de conférences au département d'anthropologie de l'Université Lumière Lyon 2. [...]
[...] A titre d'exemple, on peut nous demander de sacrifier un cola (une sorte de fruit très répandu dans l'Afrique de l'ouest) au sacrifice sanglant tel qu'un mouton blanc, un coq rouge, ou encore des tissus, du riz, des feuilles de papier etc. Il y a donc toute sorte de sacrifice possible. Autres éléments importants, les sacrifices peuvent être aussi uniquement d'ordre symbolique. Pour finir, Julien nous a insister sur le point qu'il n'y a pas de recette miracle pour savoir ce qu'il faut sacrifier ou pas, c'est vraiment le devin guérisseur qui peut le dire. [...]
[...] D'après Julien, il arrive que ce soient aussi des chasseurs qui sont des devins guérisseurs. En effet, la figure du chasseur est importante car c'est lui qui connait le mieux le secret de la brousse, qui va aussi pouvoir prescrire des médicaments fabriqués à base de végétaux ou autres. Pendant la présentation de ces statuts, Julien nous parle également d'un système de code de couleurs pour les sacrifices. En effet, pour chaque couleur, il y a une interprétation particulière à comprendre et à respecter. [...]
[...] Depuis son ouverture, le musée Quai Branly a également beaucoup acheté d'objet venant des quatre coins de la planète. Les devins guérisseurs : Pendant la visite, Julien nous a montrer un ensemble de statut qui sont enfaite une image d'hôtel de devin guérisseurs appartenant au peuple de Lobi. C'est un peuple d'Afrique de l'ouest, présent principalement au sud ouest du Burkina Faso, au nord ouest du Ghana, et au nord est de la Cote d'Ivoire. D'après lui, ces statuts sont utilisée par les devins guérisseurs afin de pouvoir rentrer en contacte avec les entités invisibles, tels que notamment les ancêtres, des génies, des djinns, ou encore des cheytan qui sont des figures diaboliques. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture