Louis XIV depuis le début de son règne était désireux de faire de la France le flambeau de l'Europe et d'imposer sa suprématie à tous les autres pays d'Europe et cela dans tous les domaines. Cette volonté de Louis XIV est très bien exprimée dans la décoration et l'agencement de Versailles que Louis XIV fit transformer pour s'y installer. Ce symbolisme national s'exprime surtout dans la galerie des glaces, les salons de la guerre et de la paix, dans les salons planétaires mais également dans les jardins du château. Ce symbolisme passe par la narration à travers la décoration des grands faits de guerre de Louis XIV sur les autres pays Européens ainsi qu'a travers la représentation des grandes réalisations intérieures et dans les affaires étrangères. Cet aspect est omniprésent dans la décoration de Versailles où tout est organisé à la gloire du roi et de la France
[...] On peut admirer l'organisation de ses compositions, on peut souligner sa science dans la mouluration qui était fine et élégante, il excellait dans la taille de la pierre ce qui est particulièrement remarquable dans l'orangerie de Versailles. C'était un homme qui travaillait dans le grands, il était exécuter ou de faire exécuter les projets les plus superbe. Il eut le bon sens de ne pas refuser les idées du Roi et de trouver le moyen de les réaliser. Ce fut un homme utile nécessaire à Louis XVI et à la perfection de Versailles. Bibliographie Sabatier Gérard, Versailles ou la figure du roi, éd. Albin Michel, Paris Versailles, coll. Les Passeports de l'Art éd. [...]
[...] A ses pieds se trouve une jeune femme abattue représentant la Franche-Comté qui tend les clefs de la province vers un homme au sol, qui représente le Fleuve Doux qui en crue devait être un obstacle supplémentaire pour l'armée Française. Mais le pauvre homme a beau tendre le bras, les clefs lui échappent. De plus ce mouvement de bras qui devait également empêcher le Roi de traverser le Doubs, ne réussit pas. Louis XIV, qui à un pied derrière le bras de cet homme et un devant, est représenté en train de franchir le fleuve. [...]
[...] Le Brun dans cette composition donne une image grandiloquente de cette victoire alors qu'en réalité il s'agit d'un fait militaire assez mineur. En effet, le subterfuge du roi ayant tellement bien marché, il n'y avait que peu d'hommes pour défendre la ville. Dans cette composition le Roi apparaît plus glorieux que jamais. Il est dans les airs assis sur l'aigle de Jupiter, une foudre à la main droite et à la main gauche l'égide (le bouclier de Jupiter) symbole de la puissance souveraine. [...]
[...] Le roi arme sur terre et sur mer (1672) 20. Le roi donne ses ordres pour attaquer en même temps quatre des plus fortes places de la Hollande (1672) 21. Passage du Rhin en présence des ennemis (1672) 22. Le roi prend Maastricht en treize jours (1673) 23. Alliance de l'Allemagne et de l'Espagne avec la Hollande (1672) 24. La Franche-Comté conquise pour la seconde fois (1674) 25. Etablissement de l'hôtel royal des Invalides (1674) 26. Prise de la ville et citadelle de Gand en six jours (1678) 27. [...]
[...] La Hollande se retire de l'alliance malgrès l'aigle de l'Allemagne qui tente de la retenir. Elle regarde vers le ciel , et tend le bras vers le rameau d'olivier que lui tend Mercure. Le lion de la hollande, qui se trouve sous la Hollande, essaye désespérément de maintenir ensemble les sept flèches qui représentent les provinces hollandaises. Devant la Hollande, se trouve un paon agressif qui accompagne l'Angleterre qui amène des troupes et vient lui proposer son aide avant qu'elle ne signe le traité de paix. [...]
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