Vénus, jalouse de la beauté de Psyché, ordonne à son fils Cupidon de la rendre amoureuse du mortel le plus méprisable qui soit. Alors que le dieu s'apprête à mener à bien sa mission, il tombe lui-même amoureux de Psyché.
Le père de Psyché, désespéré de voir que sa fille ne trouve pas d'époux, se rend à Delphes pour supplier Apollon de permettre à Psyché de se marier (...)
[...] Le bain de Mars et Vénus : Cette toile illustre le mythe de Psyché car c'est Vénus qui est l'ordonnatrice des persécutions de Psyché . Ariane et Bacchus : Ariane est sous le charme de Bacchus . Vénus retient Mars et sauve Adonis : Vénus est amoureuse de l'Adonis. Amour qui provoque chez Mars une colère terrible, il tente de tuer ce dernier mais Vénus le retient à temps. Le plafond Le plafond relate la première partie de la vie de Psyché. Les six toiles des murs lui font suite pour enfin terminer par le mur du banquet . [...]
[...] La salle de Psyché de GIUlio ROMANO Giulio Romano est le peintre officiel de la cour de Mantoue. Il a illustré de nombreux sonnets érotiques racontant des poses sexuelles. Il dessine de nombreuses planches sur le thème du voyeurisme. Thème récurant dans la peinture érotique maniériste. La salle de Psyché au Pallazo Te, commandé par Frédéric de Gonzague. Ce dernier n'est pas vertueux ce qui va à l'encontre des principes familiaux en place. Le Pallazo Te n'est autre qu'un palais d'apparat et de réception. [...]
[...] Frédérique de Gonzague demande une accentuation de la dimension érotique et ludique pour bien marquer son opposition avec sa famille et notamment sa mère. Cette dernière se prénomme d'ailleurs comme sa maîtresse officielle : Isabelle. Ce qui met en froid la mère et le fils. Il s'oppose réellement à sa famille et cette pièce en est le pied de nez. Le banquet de Psyché Le banquet de Psyché se présente en deux parties dans la salle. On remarque des puttos qui jouent. On remarque aussi la présence de l'emblème de Frédéric de Gonzague qui dit qu'il aime ce qui lui manque. [...]
[...] Il montre aussi la métaphore de Frédérique de Gonzague cachant ses amours avec sa maîtresse. On peut y remarquer le voyeur que l'on peut associe au peintre Guilio Romano. On comprend donc que Romano est intime du prince, qu'il est au courant de sa vie mais qu'il ne voit rien malgré tout . Polyphème, Acis et Galatée : L'histoire d'un amour contrarié . Pasiphaé et Dédale : L'histoire d'un amour bestiale de Pasiphaé. Elle entre dans une fausse vache pour assouvir ses besoins sexuels avec le taureau dont elle est amoureuse. [...]
[...] Après ce repas, elle s'endort dans sa chambre. Cupidon la rejoint dans la nuit en lui demandant de ne jamais chercher à connaitre son identité. Toutes les nuits, il la visite et la quitte dès l'apparition de l'aurore. Les sœurs de Psyché la raillent en déclarant que le mystérieux amant ne serait rien d'autre qu'un monstre horrible. Piquée par la curiosité, elle profite du sommeil de son amant pour allumer une lampe et percer le mystère. Elle découvre alors le plus magnifique des jeunes hommes assoupi. [...]
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