Créée vers 1905. Huile sur toile, 163 x 114. Musée du Louvre à Paris.
Ce portrait de famille est vraisemblablement inspiré d'une photographie.
On y remarque quatre hommes et quatre femmes qui sont réunis pour un mariage.
Il est impossible de donner un âge aux personnages. Seuls, les deux personnages les plus en avant présentent des rides et des cheveux blancs.
A leurs pieds, un chien monumental et docile est paisiblement assis (...)
[...] Les deux grandes figures du Romantisme sont les peintres français Delacroix et Géricault, doués d'une grande force créatrice. Par ce mouvement, les romantiques peuvent exprimer leur passion. Il y a tout les domaines : l'amour, la nature, l'engagement politique, l'histoire, le bonheur, la liberté, douleurs, Les œuvres créées sont puissantes et le moi y prends les dimensions du monde. Les romantiques n'hésitent plus à montrer dans leurs peintures des scènes violentes, qui bousculent le public. Ex : La fusillade du 3 mai 1808 de Goya. [...]
[...] À ses débuts, il travaille avec son frère Hubert, également peintre. C'est ensemble qu'ils réalisent le célèbre Polyptyque de l'Adoration de l'Agneau mystique (1432). Jan Van Eyck possède une grande maîtrise de la peinture à l'huile, une technique nouvelle qu'il perfectionne. Il est également un grand maître de la couleur et un portraitiste de talent, comme le montrent deux de ses œuvres, l'Homme au turban rouge (1433) et les Époux Arnolfini (1434). La Vierge Marie est le sujet central d'un grand nombre de ses peintures, notamment la Vierge au chancelier Rolin (vers 1430-1435). [...]
[...] Lorsque les époux sont fortunés, il est préférable d'avoir deux témoins afin de certifier le contrat de mariage qui réglait les intérêts financiers ; cet acte devait être signé par deux témoins. La signature : La signature du peintre a une signification particulière dans ce tableau. Elle n'est pas modestement inscrite dans un coin à droite, mais elle est calligraphiée et mise en valeur entre le miroir et le lustre. L'inscription : Johannes de Eyck fuit hic signifie que le peintre se trouvait présent. La signature n'acquiert pas sa validité en tant que signature du peintre mais en tant que signature du témoin. [...]
[...] L'aquatinte est un procédé identique à l'eau-forte à part que la plaque de métal est couverte d'une couche de résine avant toute création. De 1810 à 1820, il crée une autre série de 82 planches sur l'invasion de l'Espagne par les troupes napoléoniennes. L'œuvre appelée les Désastres de la guerre comporte des gravures sur les moments terribles et terrifiants de la guerre, la famine, les exécutions. Ces deux recueils ne seront découverts qu'après la mort du fils de l'artiste en 1854 et publiées en 1863. [...]
[...] Il en a peint de nombreux coins. C'est dans ses promenades au Jardin des Plantes, au Muséum d'Histoire Naturelle, au Jardin d'Acclimatation, ou bien encore au travers de récits de voyage, de photographies et de cartes postales, qu'il a trouvé son inspiration pour les célèbres Jungles de Rousseau. Dans certaines de ces peintures, on retrouve des singes, des lions, des antilopes, des oiseaux tropicaux, et bien d'autres animaux encore. Comme par exemple dans un Indien affrontant un gorille une toile de 1910. [...]
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