Lors de notre exposé, nous allons étudier l'impacte de la ville dans la création artistique et plus particulièrement dans la peinture, puis dans la photographie et enfin dans le cinéma qui sont, nous pouvons le dire, 3 arts majeurs. Nous avons choisi ce sujet car nous pensons que l'art a une grande place dans la société actuelle et qu'il joue un rôle important dans l'humeur de la population car on peut considérer l'art comme un loisir à part entière. Dans un premier temps nous allons découvrir l'image de la ville dans la peinture. Nous distinguerons la peinture en 3 grandes périodes qui sont : milieu XIXème jusqu'au début XXème, une autre période importante, même la plus importante la période d'entre-deux-guerres et enfin une troisième partie qui débute à la fin de la Seconde Guerre mondiale jusqu'à nos jours, période que l'on pourrait nommer postmoderne. Ensuite nous allons voir l'image de la ville dans la photographie. Nous regarderons les différentes manières de prendre la ville en photographie soit seulement des murs en béton, soit l'ensemble de la ville, soit des monuments historiques de celle-ci ou même quelques fois, seulement des objets de la vie quotidienne de la ville et que l'on trouve partout. Et enfin nous étudierons l'image de la ville dans le cinéma. Dans un premier temps nous étudierons New-York, qui est la ville la plus représenté dans le cinéma occidental, puis les villes qui ont été crées de toutes pièce, et enfin dans un troisième temps, les villes utopiques ou mythologiques qui furent pour certaines des succès du cinéma moderne (...)
[...] L'aspect abstrait des œuvres est éloigné de la réalité tumultueuse de la ville. Cependant, apparait l'élimination de tout détail anecdotique. L'association la plus étroite entre la ville et la peinture est réalisée par les futuristes, qui élaborent un langage s'inspirant directement de la ville industrielle et du mythe de la vitesse. La décomposition de la couleur et de la forme, les transparences, le principe d'une vision simultanée exaltent l'image d'une ville mobile, où des milieux hétérogènes sont dans une constante interaction. [...]
[...] Kirchner, Dix, Meidner semblent raconter, à travers leurs visions apocalyptiques. La ville se caractérise par ses excès. L'artiste et le spectateur sont confrontés à la fois à une extension démesurée et à une illisibilité croissante de l'espace urbain. La disparition des centres-villes et la discontinuité des plans vont de pair avec l'esthétique du collage, où la photographie joue un rôle majeur. La transformation est parfois subtile. Comparons la Metropolis de Grosz (1916) et celle de Citroën (1923). Même impression de morcellement de l'espace, même fragmentation chaotique. [...]
[...] C'est donc pendant les années quarante que les photographes vont commencer à photographier ces espaces bétonnés. A cette époque la ville fascine mais elle est aussi un objet de répulsion. L'exode rural encourage également la photo urbaine. En effet cette dernière permet de fixer la vie, les objets, les événements qui s'intensifient avec l'arrivée en masse de la population dans les villes. Le genre photographique permet de représenter la ville moderne sous différente vue. La rue, la ville devient donc une photographie engagée qui marquera la vision du monde (par exemple les rue américaines). [...]
[...] Les photos du XIXème étaient bien évidemment en noir et blanc et de plus la qualité était médiocre : c'est une raison de plus qui rendait difficile la prise de photographies de ville entière. Mais l'évolution des techniques mais également des mentalités fait que la photographie des villes va changer. En effet, l'apparition de la photo couleur, de l'hélicoptère par exemple va permettre un véritable essor de la photographie urbaine. Les photographes vont laisser libre cours à leur imagination pour prendre la ville sous toutes ces coutures. [...]
[...] Le thème du film est clairement annoncé par les aspects que prend la ville ou du moins les aspects que veut donner le réalisateur par ce jeux de noir et blanc faisant transparaitre un univers noir. On retrouve ici les quelques notes de couleurs cherchant à attirer l'attention. Nous pouvons donc penser que la ville joue un rôle essentiel dans l'illustration du scénario et notamment lorsque celle-ci est créé ou adaptée en fonction du scénario, c'est alors un jeu pour le réalisateur d'identifier le lieu, ici la ville, aux personnages. [...]
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