Politiques de la culture, démocratisation culturelle, populisme, démocratisation, beaux-arts
Cela commence à l'époque royale, François 1er inaugure une action royale. Création des académies au milieu du 18ème siècle.
Les financements privés : mécénat, sponsoring, philanthropie. La révolution française crée d'un côté une destruction généralisée d'objet d'art et de l'autre la création de l'idée de patrimoine.
1870-1958 : la 3ème république est l'époque des beaux-arts, on organise systématiquement la protection du patrimoine par 2 grandes voies : le système de classement où les propriétaires sont aidés par l'Etat. 2ème idée : le soutien à la création : expositions universelles. 3ème idée : l'Etat fait très peu de dépenses culturelles directes et laisse le monde culturel entre les mains de la municipalité.
[...] La convention affirme de surcroit que la diversité culturelle est une condition essentielle du développement durable. Cette politique postule une préférence collective et individuelle pour la diversité en tant que telle. Cette politique postule que toutes les formes d'expression mérite un traitement absolument égale, on ne portera ni jugement de valeur qualitative, ni d'appréciation quantitative. On postule enfin que la valeur de la diversité est supérieure à celle de la liberté des échanges ou de la limitation des dépenses publiques ou du choix de la majorité. [...]
[...] L'administration va être amenée à favoriser des choses que le public aime déjà ou qu'il n'aime pas beaucoup. La démocratisation passe par l'éducation. Il relevé de l'administration de démocratiser comme cela que le peuple soit en état de maitriser son propre destin. Faire en sorte que chacun est une petite pratique amateur à sa mesure. Démocratisation de l'activité culturelle et non pas de la consommation. Rapprocher les gens de la culture. La démocratisation ne présuppose pas l'unité de la population. [...]
[...] On peut ne pas fréquenter un lieu de culture sans y être indifférent, on reconnait en économie de la culture des demandes d'existence qui ont traité à ce que la majorité des contribuables acceptent de payer pour la préservation d'un bien ou d'un service collectif qui n'ont personnellement aucune intention de consommer. Ce qui est supposé participer à l'identité d'un lieu est reconnu comme devant être préservé. Accroissement de l'offre et stagnation de la demande. Pour le spectacle, la croissance du nombre des centres dramatiques nationaux les a fait passer d'une trentaine en 80 à plus de 40 en 2001. Les entrées dans les spectacles ont diminuées de 14%. [...]
[...] L'idée d'éducation artistique apparait comme une exigence. Modernité et contre la tradition : l'idéologie moderniste a régnée sans partage au ministère mais au bout de 15 ans elle se trouve victime de son triomphe. Le discours légitimant la préférence pour les œuvres les plus modernes et devenus de plus longtemps désormais un néo conformisme qui est lui-même objet de raillerie. La culture par rapport au divertissement (voir pdf). La question de la démocratisation culturelle : Rendre accessible à un maximum de gens les grandes œuvres considérées comme indiscutable. [...]
[...] Politiques de la culture Cela commence à l'époque royale, François 1er inaugure une action royale. Création des académies au milieu du 18ème siècle. Les financements privés : mécénat, sponsoring, philanthropie. La révolution française crée d'un côté une destruction généralisée d'objet d'art et de l'autre la création de l'idée de patrimoine. 1870-1958 : la 3ème république est l'époque des beaux-arts, on organise systématiquement la protection du patrimoine par 2 grandes voies : le système de classement où les propriétaires sont aidés par l'Etat. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture